mars 2009

Exposition pour la semaine de la presse

samedi 21 mars 2009

Pressez-vous!
Galerie L’hôtel
École des Beaux Arts de Caen 
(du lundi au jeudi 13h-17h et le vendredi 13h-16h)
exposition collective du 24 mars au 3 avril
vernissage le mardi 24 mars à 12h30

À l’occasion de la semaine de la presse, vingt-cinq étudiants en Design Graphique nous exposent leur vision de l’actualité. Formé aux métiers du graphisme, chacun a mis au point sa propre écriture empreinte d’ironie, parfois tournée vers le détournement de logotypes ou bien vers le signe hybride, digne d’une affiche, sans compter la bande dessinée ou encore le photomontage.

Prouvant leur engagement, tous montrent combien une école d’art et le public qui la compose doivent se tourner vers l’extérieur et le questionner visuellement, sans relâche.
Si le dessin de presse est un fabuleux baromètre démocratique, la liberté de production d’une école d’art l’est tout autant. 

Les presseurs d’images : Julien Alirol, Thomas Anne, Nathalie Anthoine, Élise Bonhomme, Mathilde Bonnet, Guillaume Brindon, Pauline Coller, Erika Delaune, Julien Foulon, Jérémy Galodé, Chanèle Goldscmidt, Maxence Henry, Renaud Jaillette, Geoffrey Langlinay, Amandine Le Goïc, Thomas Lieuvin, Céline Métayer, Isabelle Mirard, Guillaume Plouchart, Thomas Rainfroy, Paul Ressencourt, Elsa Rey Golliet, Simon Roché et Aude Veillet

Offres de stage

vendredi 20 mars 2009

Toutes les offres de stage qui sont publiées sur ce blog ne sont pas forcément hors période de cours ce qui signifie que suivant votre emploi du temps vous serez peut-être contraint de le décliner. Si jamais vous souhaitez faire un stage qui vous ferait rater ne serait-ce qu’une demie-journée de cours il est de votre devoir d’en informer très à l’avance les enseignants concernés. Un avis défavorable n’est pas discutable. Si jamais un étudiant prenait la liberté d’accepter un stage sans l’accord des enseignants il en assumerait les éventuelles conséquences, comme celle de ne pas pouvoir valider ses crédits.

1 – Offre de stage : Photographe 

 

Date de publication de l’offre : 12 Mars 2009 

L’Atelier Equitable est une jeune structure de commerce équitable créée en janvier 2007. Nous importons et distribuons toute une gamme de produits fabriqués selon les principes du commerce équitable.

L’Atelier Equitable offre à toute organisation (entreprises, collectivités, comités d’entreprise, associations…) la possibilité de mettre en œuvre une politique d’achat plus éthique en leur proposant des cadeaux évènementiels, des accessoires de bureau, ainsi que des objets publicitaires originaux et éthiques.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site www.atelier-equitable.com.


Description du poste

 

Date de début de stage : Immédiate

Durée du stage : variable selon le cursus. Idéal de 15jours à 1mois

Lieu : Mondeville 

En relation avec la gérante et dans le cadre d’une activité en développement, le stagiaire accompagnera l’entreprise dans sa démarche de communication externe.  

Dans ce cadre, il(elle) sera chargé(e) d’élaborer un book photo de nos produits > shooting de produits avec et sans mise en scène, retouches des photos, possibilité de montage photos, montage du book complet


Profil requis


De formation bac +2 (minimum)  en communication graphique, vous possédez un sens créatif pour la mise en scène, une spécialité photographique est indispensable.

Vous maîtrisez les logiciels Photoshop et Xpress / Indesign ou Illustrator et autres logiciels de retouches et montages.

Vous êtes méthodique, organisé et rigoureux. 


Rémunération : à définir


Info & contact

Julie ROUSINAUD – Manager 

tél/fax : 02 31 82 74 18

Envoyer CV et lettre de motivation par e-mail à commercial@atelier-equitable.com


2 – Offre de stage : Océan Assistance


Nous recherchons un ou une étudiante pour un stage en collaboration avec notre équipe de développement. Le stage consisterait à créer des boutons pour nos progiciels. Nous sommes en cours de création d’un progiciel pour le domaine équin, qui sera diffusé au niveau national, voir international.

Ces boutons devront s’intégrer parfaitement dans notre interface graphique et correspondre à l’identité de l’entreprise. Le stage peut commencer à partir de début avril.


Contact : Gabrielle Mainini responsable service Développement

20 rue du Four / 14790 Fontaine-Etoupefour

02 31 71 24 42 / 06 32 24 14 97 / gabrielle@oceany.com


2 – PROPOSITION DE STAGE / MONTAGE D’ EXPOSITION 

Malachi Farrell : Strange fruit in the street 
Exposition du 16 mai au 31 octobre 2009
Vernissage vendredi 16 mai à 12h
Aux Moulins Albigeois – Albi 
Commissariat : Jackie-Ruth Meyer 
Malachi Farrell traite des grandes questions politiques et sociales, passées et présentes, sur un mode narratif, théâtralisé, par lequel l’imaginaire favorise la prise de conscience. Il utilise le son, la lumière, des machines insolites, des figures et des objets articulés, pour la réalisation desquels il associe bricolages ingénieux et technologies de pointe.
Sa démarche est celle de l’engagement, de la résistance, de la mise à nu de la violence contre l’humanité et des systèmes qui l’activent. Ses oeuvres suscitent simultanément l’émotion et la réflexion, catalysés par l’humour et l’ironie.
Le titre de l ’exposition « Strange fruit in the street », entièrement crée pour les Moulins à Albi, fait référence au poème « Strange Fruit », décrivant le lynchage d’un Noir, écrit au milieu des années 30 par Abel Meeropol, enseignant juif du Bronx dont le nom de plume est Lewis Allen. Il a été interprété pour la première fois par Billie Holiday en 1939 au Café Society, à New York, premier café « intégré ». Cette chanson est reprise dans le film « Lady sings the blues ». Elle est considérée comme le premier « protest song » américain et constitue les prémices de la lutte pour les droits civiques des années 50.
Malachi Farrell transpose le lynchage de l’homme noir à la situation mondiale actuelle, où la population et l’environnement sont détruits par la misère sociale et l’inconscience écologique. L’exposition est un parcours dans la rue d’un mauvais quartier aux Etats-Unis, un lieu à la marge, métaphore de toutes les villes en crise… dans un univers sombre peuplé d’automates animés. 

Proposition de stage : montage d’exposition en présence de l’artiste
Deux étudiant(e)s durant neuf jours :  du 07 au 15 mai 2009              
Défraiements 
Les stagiaires sont nourris et logés et leurs frais de transport sont pris en charge (sur la présentation d’un justificatif)
 Lieux du stage : ALBI (TARN)
 
CONTACT :  Jérôme CROS / 06 72 52 22 57 / 05 63 47 49 95 / jerome.cros@lelait.net

3 – PROPOSITION DE STAGE / MONTAGE D’ EXPOSITION 

Camille Henrot : Pour ne pas mourir deux fois 
Exposition du 30 mai au 6 septembre 2009
Vernissage vendredi 29 mai à 18h30
A l’Hôtel de Viviès – Castres 
Commissariat : Jackie-Ruth Meyer 

Camille Henrot explore le temps comme un continuum où passé, présent et avenir fusionnent dans l’imaginaire des chercheurs de sens que sont les artistes. C’est ainsi que l’Histoire du monde et les petites histoires individuelles, peuvent entrer en résonance avec les quêtes existentielles des êtres humains.
Son travail se situe entre anthropologie visuelle et anticipation et s’inscrit dans l’espace par des formes appartenant au vocabulaire artistique et environnemental d’aujourd’hui. Elle utilise tous les moyens d’expression, film, son, photographie, dessin, sculptures, installation, pour développer sa recherche avec la grande liberté que donnent les associations visuelles sans frontières culturelle ou rationnelle. Les images, les formes et les objets produits sont activés par leurs références d’origine, par leur réinvention subjective et par les liens sensibles qu’ils établissent entre eux.
L’exposition « Pour ne pas mourir deux fois » à l’Hôtel de Viviès à Castres poursuit son dessein égyptien, dont la première partie est montrée à la Galerie Kamel Mennour, à Paris, en mars et avril. Plusieurs oeuvres nouvelles sont crées à cette occasion dont les « Sphinx », dessins au pastel gras, dont la représentation mythique se détériore petit à petit en une grande frise, par le traitement rapide à la main sur les images originelles, résidus mythologiques, et les « Silex », ou « Collections post historiques », photographies coloriées, pierres du passé projetées au futur. L’installation dans le jardin du centre d’art, où le mobilier renoue avec son origine par assemblage, rejoue une scène du sacrifice primitif ou une scène de capture évoquant les films de western. Les « Cages », sculptures-architectures de fer et de bois, forment un contrepoint, à l’intérieur du centre d’art, en déplaçant ce qui appartient à la nature 
vers le monde domestiqué. 


Proposition de stage : montage d’exposition en présence de l’artiste

Un(e) étudiant(e) durant neuf jours :  du 25 au 29 mai 2009              

Défraiements : Les stagiaires sont nourris et logés et leurs frais de transport sont pris en charge (sur la présentation d’un justificatif)

Lieux du stage : CASTRES (TARN)
Contact :  Jérôme CROS / 06 72 52 22 57 / 05 63 47 49 95 / jerome.cros@lelait.net

Urgent : Pétition Chaumont

mardi 3 mars 2009

/// Festival de l’affiche de Chaumont : il y a danger !! >

Les grandes sociétés de médias et de trop nombreux responsables politiques considèrent que le droit des auteurs n’est qu’un coût supplémentaire à l’exploitation des oeuvres qu’il faut donc réduire autant que possible.
En application de ce principe, le Maire de Chaumont propose, dans le
 cadre du festival international de l’affiche, un contrat qui prive les auteurs de tous leurs droits.
Si la possibilité de diffuser ce fond est légitime et nécessaire, cela
 ne peut se faire que dans le respect d’équilibres dont les droits des auteurs.
Nous vous invitons donc, graphistes, auteurs ou non, à lire et signer la
 pétition que nous venons de mettre en ligne à cette adresse :

http://chaumont.snapcgt.org

La pétition a reccueilli 1 700 signatures en 1 semaine 

(en date du 3.3.09).

David Poulard / Poésie Nuit

mardi 3 mars 2009

/// Mercredi 4 mars à 18h à la Bibliothèque d’agglomération de Caen la mer – Centre Ville


David Poullard est dessinateur de caractères typographiques et graphiste. Son champ d’investigation est l’interrogation du quotidien, et plus spécfiquement l’étude des écritures exposées et des pratiques sociales qui les génèrent. Il dessine à partir de 1999 la série des « Ordinaires » à partir de son observation des lettres des métros parisiens, une typographie destinée à se faire oublier dans son décor. De la même manière, partant cette fois d’une observation de la langue française, il publie en 2006 un très étonnant « Précis de conjugaisons ordinaires », avec Florence Inoué et Guillaume Rannou, une « tentative d’étirement du français figé » conjuguant des expressions toutes faites. Invité de La poésie/nuit, il présentera sa conception de la typographie, notamment dans son rapport à la langue et aux usages.
Rencontre en présence d’Alain Roger, enseignant la typographie à l’ERBA Caen la mer.

Florence Inoué, David Poullard et Guillaume Rannou
Le Précis de conjugaisons ordinaires. 
Tentative d’étirement du français figé 
Ce travail est le résultat de l’association de trois personnes, Florence Inoué, David Poullard et Guillaume Rannou, respectivement graphiste, typographe et acteur, tous profondément dingues de la langue. Depuis 2001, adoptant une posture d’apprentis-linguistes, ils remettent en jeu ce qui apparemment va de soi : ils interrogent nos habitudes langagières, fouillent les ressorts de notre oralité en créant des dispositifs destinés à interroger les mots et à recréer du sens entre eux.
Dans ce Précis, ils ouvrent le champ de la « table de conjugaison » et de ses potentialités insoupçonnées ; à travers la manipulation de près de deux cents locutions, la langue française se voit ainsi dépliée (du latin explicare) puis repliée (du latin cumplicare). Le Précis de conjugaisons ordinaires est ainsi le fruit d’un jeu à la règle aussi simple qu’étonnante : 1. extraire une locution du langage quotidien (ex. : “Ça commence à bien faire !”), 2. passer le verbe à l’infinitif (Commencer à bien faire), 3. conjuguer ce dernier à toutes les personnes, modes, temps de la langue française (Je commence à bien faire, Tu commenceras à bien faire, Que nous commençassions à bien faire, Commencez à bien faire !, etc.).

Florence Inoué, après avoir assisté différents metteurs en scène sur des auteurs tels que Claudel ou Schwab, met en scène L’acte III du Babil des classes dangereuses de Valère Novarina en 2000, avec la contribution du dessinateur de caractères Pierre di Sciullo. Autodidacte, elle se consacre exclusivement au graphisme à partir de 2001.
David Poullard est dessinateur de caractères typographiques et graphiste. Son champ d’investigation est l’interrogation du quotidien, et plus spécifiquement l’étude des écritures exposées et des pratiques sociales qui les génèrent. Il dessine à partir de 1999 la série des Ordinaires, caractères typographiques notamment utilisés pour la composition du présent ouvrage.
Guillaume Rannou est acteur. Après avoir co-fondé le collectif de théâtre de rue Éclat immédiat et durable, il a intégré le Conservatoire national d’art dramatique. Il joue dans des spectacles dont il est parfois à l’initiative, voire auteur : « J’ai ! », un essai sur le rugby ; La vérité en pointure, Jacques Derrida ; La Cosmologie, écriture collective. Il a aussi écrit un récit de voyage : Êtreaujapon. Il collectionne les cartes Michelin, les annuaires et les dates de chantier sur la chaussée. Il aime se pencher sur les mots courants.

///Information > http://www.lapoesienuit.com/

Chaumont

lundi 2 mars 2009

/// AVOIR 20 ANS > 13 MARS 2009


TÉLÉCHARGEZ LA FICHE D’INSCRIPTION  SUR http://www.chaumont-graphisme.com/fr/Reglement_CE_2009_FR.pdf


Cette année le Festival de Chaumont se produira pour la vingtième fois. 

Vingt années d’existence cela se fête et cela s’interroge aussi. 

Pour une manifestation culturelle avoir vingt ans c’est déjà beaucoup de temps et d’expérience. 

On peut analyser et comprendre sa nécessité, mesurer son ancrage dans l’espace public et dans la conscience de celles et ceux qui dans leur ville la retrouve année après année. 

Mais c’est aussi, relativement à l’échelle de l’histoire des arts et des cultures, un temps très court. Un temps juste suffisant pour lui écrire et lui dessiner sa place dans cette même histoire… 

Le festival est né presque en même temps que les étudiants qui cette année participeront au 16E concours «Étudiants, tous à Chaumont!». 

Rappelons que ce concours fut imaginé et organisé dans ses premières éditions par l’un d’entre eux, Manuel Delannoy, étudiant à l’ESAD d’Amiens, comme projet de son diplôme. 

Avoir vingt ans est pour chacun un passage important. Passage de la période de l’enfance et de l’adolescence à celle de l’âge adulte, de la dépendance affective et matérielle à une autonomie existentielle en permanente construction. 

On affirme ses choix, on résiste à ce qui les contredit, on se regarde avancer plus ou moins facilement, plus ou moins douloureusement vers une autre étape de l’existence qui s’appelle la maturité. Les choses de la vie quotidienne prennent une importance que l’on imaginait difficilement et s’entremêlent avec les idées plus complexes sur l’existence que l’on a tissé 

en construisant sa pensée et son sens critique. 

Période exaltante dont Pablo Picasso pensait qu’elle était la plus prolifique artistiquement et dont Paul Nizan disait d’elle: 

«J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. 

Tout menace de ruine un jeune homme: l’amour, les idées, la perte de sa famille, l’entrée parmi les grandes personnes. Il est dur à apprendre sa partie dans le monde. 

À quoi ressemblait notre monde? Il avait l’air du chaos que les Grecs mettaient à l’origine de l’univers dans les nuées de la fabrication. Seulement on croyait y voir le commencement de la fin, de la vraie fin, et non de celle qui est le commencement d’un commencement.» 

Nous aimerions interroger votre expérience au moment même où elle se réalise et vous poser cette question simple et compliquée à la fois, qu’est-ce que cela fait et veut dire d’avoir vingt ans aujourd’hui, hier et demain aussi… 

Et que votre énergie se traduise dans une magnifique affiche pleine de vie. 

Merci


CONDITIONS DE PARTICIPATION: 

Un étudiant ne pourra présenter qu’une seule affiche, impérativement au format 60 x 80 cm, à la française. 

Chaque affiche devra mentionner obligatoirement en corps 12, en signature, en typographie libre, la mention suivante : 

« Étudiants, tous à Chaumont! », nom, prénom, 2009. La faculté de présenter une affiche en tant qu’œuvre collective est ouverte. Les projets devront être impérativement reproduits par photographie, ou imprimante au format requis. 

Les maquettes-collages ne sont pas acceptées. À chaque affiche doivent être joints une fiche de 

participation dûment remplie, une photocopie de la carte d’étudiant et un photomaton du participant. Ces documents ne 

doivent en aucun cas être collés sur l’affiche. L’affiche ne doit être ni encadrée ni contrecollée. Elle doit être soigneusement protégée lors de son expédition 


«ÉTUDIANTS, TOUS À CHAUMONT!» 

FICHE D’INSCRIPTION À JOINDRE À CHAQUE AFFICHE. 

Les participants au concours-exposition « Étudiants, tous à Chaumont! » devront également envoyer leur image sur un CD 

ROM, au format TIFF, 11,25 X 15 cm, résolution 300 dpi, mode couleur CMJN. Ceci afin d’avoir une meilleure qualité 

d’impression sur la publication prévue qui rassemblera les affiches sélectionnées. 

Toute participation emporte la pleine acceptation des présentes sans aucune restriction ou limitation quelconque au 

présent règlement. 


LES PRIX : 

Les affiches sélectionnées respectant impérativement le format seront exposées durant le festival, feront l’objet d’une 

publication dans le catalogue prévu à cet effet et d’une éventuelle mise en ligne sur les sites du Festival, de la Ville de Chaumont et du ou des partenaires de la manifestation. Le jury composé de graphistes professionnels décerne trois prix matérialisés chacun par un diplôme. Il peut n’attribuer aucun prix ou seulement une partie de ceux-ci. 

Le lauréat du 1er prix recevra 1000 euros. Tous les participants sélectionnés se verront offrir 10 exemplaires de la publication prévue. 

Dans le cadre général ainsi défini, les décisions du jury sont sans appel.


DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES AFFICHES: 

VENDREDI 13 MARS 2009 

à retourner à l’adresse suivante : 

« Étudiants, tous à Chaumont ! » 

Association festival d’affiches 

7/9 avenue Foch  / 52000 Chaumont / France 

Renseignements : 

Tél : 33 (0)3 25 03 86 80 

Fax : 33 (0)3 25 31 08 58 

Email : artsgraphiques.affiches@wanadoo.fr