septembre 2010

Calendrier de rentrée Design Graphique

dimanche 26 septembre 2010

Lundi 20 septembre avant 16h dépôt des 5 illustrations pour Bologne pour les anciens DG3 et PJ4 typo (dans une enveloppe à votre nom, avec le formulaire d’inscription dûment rempli et les vignettes collées au dos de chaque images (http://www.bookfair.bolognafiere.it/en/mostraillustratori/partecipare). Les dossiers incomplets ne seront pas envoyés. L’envoi sera groupé.

Lundi 27 septembre de 10h à 13h, relecture et validation des mini-mémoires par Christophe Bouder, Thierry Weyd et Sarah Fouquet en atelier DG3 (http://designgraphique-esam.blogspot.com/2009/09/mini-memoire-dnat.html) et répartition des crédits d’impression
Attention, tout mini-mémoire comportant trop de fautes ne sera pas relu. Les crédits d’impression traceuse et A4-A3 ne seront pas délivrés ultérieurement donc soyez au rendez-vous.

Mercredi 29 septembre rentrée et présentation des cours

Jeudi 30 septembre avant 12h dépôt des mini-mémoires en 5 exemplaires au bureau de la scolarité

Mardi 5 octobre suivi DNAT Thierry Weyd

Mercredi 6 octobre suivi DNAT Tanya Rodgers

Jeudi 7 octobre suivi DNAT Jean-Baptiste Levée (professeur de typographie) et Sarah Fouquet

Lundi 11 octobre Suivi accrochages avec Christophe Bouder

Mardi 12 octobre Suivi accrochages DNAT Bernard Chéreau, Jean-Baptiste Levée, Thierry Weyd et Sarah Fouquet

Mercredi 13 et jeudi 14 octobre (finalement) DNAT
http://designgraphique-esam.blogspot.com/2009/05/criteres-du-dnat.html
présidente de jury: Anne Mattler (graphiste Libération)
professeur de culture générale : Florence Robert (historienne du graphisme)
invité professionnel : Sébastien Ozenne (graphiste)
professeur édam : Thierry Weyd

Vendredi 15 octobre 12h exposition des projets de DNAT

Entre le 8 et 12 octobre (cela reste à déterminer) montage de l’exposition au CHU

Mercredi 20 octobre 18h vernissage de l’exposition sur la douleur au CHU suivi d’un concert d’Anne-Flore à 19h30

Métroscope / Nuit Blanche 2010

dimanche 26 septembre 2010

/// Projet >

Du samedi 2 au dimanche 3 octobre 2010, de 19h à 7h du matin. La RATP et l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs proposent aux voyageurs de la ligne 9 de partager une performance visuelle inédite entre République et Strasbourg Saint-Denis (direction Pont de Sèvres).

L’événement prend place à la station Saint-Martin, condamnée depuis la seconde guerre mondiale. Cette « station fantôme » est ressuscitée, à l’occasion de Nuit Blanche 2010, grâce à un dispositif inspiré par les travaux de Muybridge et Marey. Des groupes d’étudiants de l’École sont les acteurs de cet événement.
Alignés le long du quai, les performeurs donnent vie à une chronophotographie en trois dimensions.


Chacun figé dans une pose, ils créent avec leur corps une typographie au passage du métro, formant un mot qui peut être lu par le voyageur. Tous les mots sont composés durant la nuit, de l’anagramme des sept lettres contenues dans «Saint – Martin».
Pendant un temps très bref de 8 secondes, durée du passage du train à vitesse normale dans la station, le voyageur aura la sensation d’un flash, presque une hallucination. Il ne pourra revivre l’expérience qu’en empruntant de nouveau la ligne 9 à République et ressusciter ainsi comme par magie cette station oubliée.

Cet événement est le fruit d’une étroite collaboration artistique initiée avec la RATP en 2004 avec «Pharaon descend à Pyramides» (en partenariat avec l’Institut du monde arabe) et poursuivie avec «Dragon à Saint-Michel» (en partenariat avec le Museum National d’Histoire Naturelle).

Cette performance artistique a été coordonnée par Laurent Ungerer, graphiste et coordonnateur de 1ère année à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs avec les enseignants : Élise Capdenat (scénographe), Stéphane Degoutin (théoricien et artiste), Martin Gautron (designer), Gérald Karlikow (concepteur lumière), Yann Bernard (designer sonore) et avec la participation de Sophie Haïun (chorégraphe).
L’événement se prolongera exceptionnellement deux jours après Nuit Blanche, le lundi 4 octobre et le mardi 5 octobre, de 17h à 23h.

Métroscope Saint-Martin Prototype from Guiguet Naïla on Vimeo.


/// L’alphabet >


L’alphabet Métroscope regroupe les sept lettres contenues dans le nom de la station Saint-Martin.
Il possède une typographie particulière et rythmée, créée par le corps.
Ces mouvements clés ont permis d’élaborer une série de positions intermédiaires permettant de

passer d’une lettre à l’autre, ces différentes variations forment les interlettrages. Les lettres associées à leur transition créent une double lecture du projet :
une animation basée sur la décomposition du mouvement prend forme.

Les lettres de l’alphabet Métroscope (A, I, M, N, R, S et T) sont à l’origine de la construction de plusieurs centaines d’anagrammes, qui à leur tour constituent des poèmes.



/// Contact et informations > http://metroscope.ensad.fr/

Éditions Ypsilon, la bilbiothèque typographique

lundi 20 septembre 2010

/// Publication >

Martin Majoor & Sébastien Morlighem José Mendoza y Almeida

Martin Majoor & Sébastien Morlighem
José Mendoza y Almeida

03/2010
édition bilingue français-anglais

Traduit de l’anglais par Étienne Dobenesque
pages
170 x 245 mm 34 €
http://www.ypsilonediteur.com/

/// José Mendoza y Almeida >

Né en 1926 à Sèvres, José Mendoza y Almeida est le dessinateur de caractères français le plus ancien toujours en activité. Il possède la particularité d’avoir publié ses principales créations dans les plus grandes fonderies internationales. Sa longue carrière, ponctuée par de nombreux travaux de graphisme et de calligraphie
 pour l’édition, la publicité et la communication, l’a amené à travailler avec d’importantes figures telles que Maximilien Vox et Roger Excoffon. Il enseigna également à l’Atelier national de création typographique au sein de l’Imprimerie nationale.

Cet ouvrage, le premier qui soit dédié à son œuvre, est composé d’une introduction de Jan Middendorp et de plusieurs essais écrits par Martin Majoor et Sébastien Morlighem, consacrés au Pascal, au Photina, à l’ITC Mendoza Roman et à d’autres créations moins connues. De nombreux documents inédits sont reproduits pour la première fois.

/// Extraits >

L’origine du Pascal remonte directement à Guillermo de Mendoza2, le père de José Mendoza. Celui-ci put apprécier et apprendre dès l’âge de onze ans auprès de son père la beauté de l’art du dessin, des lettres et de la typographie. En 1943, alors que son fils avait dix-sept ans, Guillermo de Mendoza réalisa un ensemble de dessins pour un alphabet de style incise, mais il mourut l’année suivante. Ces dessins furent le point de départ de la première création typographique sérieuse de Mendoza, lorsqu’en 1953, il commença à dessiner un alphabet qui s’en inspi- rait directement. Le principe des formes incises demeura, de même que le nom, Pascal (hommage au philosophe français), mais le nouvel alphabet était meilleur à bien des égards. Les capitales étaient moins « fantaisistes », mieux structurées tout en demeurant très élégantes. Mais c’est la création du bas-de-casse qui révéla tout d’abord le talent de dessinateur de Mendoza.
La conception d’un caractère sans empattements mais contrasté et avec des formes incises peut être considérée comme une réaction aux linéales ration- nelles suisses et allemandes alors très répandues. Mendoza n’était pas le seul à réagir à cette formalisation du dessin. Maximilien Vox, son premier employeur, avait commencé à parler, avec d’autres, du renouveau d’une tradition latine dans la création typographique – ce qu’il appelait la « graphie latine », une forme de sensibilité qu’il caractérisait évasivement comme « un certain art d’être, de vivre, de penser – et d’écrire »3. Mendoza avait pleinement et, d’une certaine manière, naturellement conscience de cette sensibilité latine, en partie peut-être du fait de ses origines espagnoles, et elle se manifeste dans l’ensemble de son œuvre. Les capitales du Pascal s’inspiraient des inscriptions lapidaires romaines tandis que le bas-de-casse se fondait plutôt sur un romain de type Garamond, mais dans les deux cas, la « sensibilité latine » était évidente.
Mendoza n’était pas non plus le seul créateur à réfléchir à un caractère sans empattements inspiré des formes humanistes romaines. En Allemagne, Hermann Zapf, de huit ans son aîné, s’était déjà fait un nom avec des caractères comme le Palatino (1950) et le Melior (1952). Il emprunta la même voie « latine » que Mendoza en dessinant l’Optima, publié en 1958 par la fonderie Stempel. Zapf fut également influencé par les capitales sans empattements de certaines inscriptions romaines, voulant même nommer sa création « Neu-Antiqua » (« nouveau romain »). L’Optima et le Pascal ont été comparés de nombreuses fois, mais il ne fait aucun doute qu’ils ont été créés indépendamment l’un de l’autre, tout en étant le fruit de la même époque.


Inauguration du Bal (espace dédié à l’image documentaire)

vendredi 17 septembre 2010

« NOTRE RÊVE EST D’OUVRIR À PARIS UN ESPACE DEDIÉ À L’IMAGE DOCUMENTAIRE (PHOTOGRAPHIE, VIDÉO ET CINEMA), DANS UNE ANCIENNE SALLE DE BAL, À DEUX PAS DE LA PLACE DE CLICHY.

UN LIEU D’EXPOSITION, DE CONFRONTATION ET D’INTERROGATION DES MULTIPLES APPROCHES POSSIBLES DU RÉEL.
UN LIEU POUR APPRÉHENDER LES ENJEUX DE LA CRÉATION DOCUMENTAIRE, ENTRE ESTHÉTIQUE ET POLITIQUE.
UN LIEU DE DÉBATS AUTOUR DES CONDITIONS DE PRODUCTION, DE DIFFUSION ET DE RÉCEPTION DES IMAGES.
UN LIEU POUR PENSER LE « DOCUMENT » ENTRE ENQUÊTE ET EXPÉRIENCE, ENTRE ENREGISTREMENT ET CONSTRUCTION.
UN LIEU D’EXPLORATION DE NOUVELLES FORMES VISUELLES POUR ARTICULER LE RÉEL DANS TOUTE SA COMPLEXITÉ. »

RAYMOND DEPARDON ET DIANE DUFOUR

/// Contact > http://www.le-bal.fr/

Portes ouvertes les 18 et 19 septembre de 10h à 20h

6, impasse de la Défense, Paris 18e

Exposition Moebius à la fondation Cartier

mardi 14 septembre 2010

/// Du 12 octobre 2010 au 13 mars 2011 « Moebius trans-forme » >


Du 12 octobre 2010 au 13 mars 2011, la Fondation Cartier pour l’art contemporain présente MOEBIUS-TRANSE-FORME, la première grande exposition à Paris jamais consacrée à l’oeuvre de Jean Giraud, connu sous les pseudonymes de Gir et Moebius. Icône incomparable de la bande dessinée, inventeur de formes extraordinaires, dessinateur génial, Moebius est un artiste qui dépasse les limites traditionnelles de sa discipline. Cette exposition inédite s’organise autour du thème de la métamorphose, un motif majeur et omniprésent dans son oeuvre. Avec leurs paysages et leurs personnages en perpétuelle transformation, ses dessins explorent les confins de l’inconscient et dévoilent un monde imaginaire et fantastique. À travers la métamorphose souvent brusque et inquiétante d’une figure, d’un décor, Moebius révèle un monde où les apparences ne sont pas aussi stables qu’on pourrait le croire.

/// Biographie du dessinateur >

Né en 1938, Jean Giraud alias Moebius ou encore Gir, est un auteur et dessinateur légendaire de la bande dessinée. En 1963, sous la signature de Gir, il crée avec Jean-Michel Charlier – à l’époque directeur de Pilote – la série Blueberry, qu’il poursuit après sa disparition et qui compte aujourd’hui une trentaine d’albums. Cofondateur en 1975 de Métal Hurlant et de la maison d’édition Les Humanoïdes Associés, Jean Giraud y développe un style unique signé Moebius. Il y publie des oeuvres révolutionnant l’aspect créatif de la bande dessinée tels que Arzach (1976) ou Le Garage hermétique (1979). Par la suite, il crée avec Alexandro Jodorowsky une nouvelle série, L’Incal (1980), et participe à de nombreux projets cinématographiques. En 1997, il refonde avec sa femme Isabelle sa propre maison d’édition, Moebius Production / Stardom, où ils éditent ensemble livres et sérigraphies consacrés à son oeuvre, notamment la série Inside Moebius dont le tome 6 est sorti en janvier 2010, et organisent des expositions à travers le monde.

/// Informations > http://fondation.cartier.com/

Conqueror le papier qui offre des polices

lundi 13 septembre 2010

/// AW Conqueror, une police de Jean-François Porchez libre de droits >

La marque de papier Conqueror offre une police de caractères exclusivement dessinée pour elle par Jean-François Porchez. Vous pouvez la télécharger sur ce lien > http://conqueror.com/
La fonte comprend une didot, une sans, une inline, une carved, une slab et un caractère chinois.

Merci à Thomas Rainfroy pour l’info.

Théâtre typographique

lundi 13 septembre 2010
/// 1900 Mode d’emploi de Friedrich Kittler >

1900 Mode d'emploi

 » 1900 Mode d’emploi » : recueil de textes choisis et traduits par Bénédicte Vilgrain :
 » Le testament de Dracula  » ( ou:une contribution de la machine à écrire à à la réinsertion des femmes dans le monde culturel)
« Rébus » (ou: une contribution du gramophone au dispositif de décryptage freudien)
« Une histoire de Double » (ou comment l’invention du film déplace la tradition romantique du Doppelgänger)


/// Visiter le site internet > http://www.thty.fr/