catégorie ‘2017’

Pressez-vous #9 / textes de l’exposition

mercredi 15 mars 2017

La voix des images ou comment désobéir au doigt et à l’œil

Progressivement, l’image signifiante disparaît de notre espace public et l’image dédiée à l’actualité, témoin et actrice de son époque, tend à être davantage marginalisée. Depuis les attentats de Charlie Hebdo, le dessin de presse n’a pas repris la place qu’on était en droit d’espérer dans les pages de la presse et rares sont les institutions qui osent encore diffuser des messages visuels dépassant la simple communication évènementielle.

D’où vient ce renoncement en matière d’images ? D’un manque de considération pour les signes ? D’une subite pénurie iconographique ? De la peur de ce qui fait sens ? Et si tout cela n’était qu’une affaire d’éducation à ce langage si particulier ?

Les écoles d’art ont cette mission de former à l’image, d’apprendre à la lire, de donner les outils pour la concevoir et enfin d’aider à contextualiser sa diffusion. Lorsqu’il est acquis pour la plupart des gens que le texte demande du temps et certaines connaissances, il ne semble pas, étonnamment, en être de même pour l’image. Une fausse idée circule encore qui ferait croire que l’image est sans filtre et que sa lecture en est immédiate, voire universelle, alors que, bien au contraire, et surtout dans le cas de l’image graphique d’actualité, il s’agit d’une production parfaitement codée. Ces images sont à la fois extrêmement synthétiques et en même temps dotées d’une fabuleuse aptitude à la polysémie. Elles ont la faculté de redéployer leur contenu dans l’imaginaire de leur « lecteur visuel ». Le temps de l’observation leur confère d’autres niveaux d’appropriation et chaque époque les éclaire différemment.

Pour sa 9ème édition de Pressez-vous, l’ésam de Caen/Cherbourg fait la part belle à toutes ces images graphiques d’actualité, de tous types (affiches, dessins de presse, illustrations, reportages dessinés…). L’actualité, dont les ressources sont intarissables et chaque jour plus surprenantes, invite donc autant les étudiants que les professionnels à croiser leurs regards. La crise des réfugiés indigne. L’élection de Trump aux États-Unis inquiète. La campagne électorale préoccupe… D’ une image à l’autre les signes s’entrechoquent, s’interpellent, se répondent, traversant les supports, changeant de format ou d’écriture. Cet ensemble d’expositions dessine les contours d’un paysage certes tourmenté et dont les perspectives sont plus qu’incertaines, mais la simple existence de ces images garantit notre pouvoir de discernement, de libre expression et de projection dans l’avenir. Nous pouvons prendre le pouls du monde, en attendant l’année prochaine.

« 17 images pour 2017 »

18 professionnels de l’image, auteurs-dessinateurs, illustrateurs, dessinateurs de presse, graphistes… ont généreusement accepté de nous prêter chacun une image réalisée en réaction à l’actualité durant ces douze derniers mois. Certaines de ces images ont été publiées dans la presse, d’autres affichées dans la ville, d’autres encore sont montrées aujourd’hui pour la première fois. De natures différentes, conçues pour divers supports et destinées à des publics variés, toutes ces images mises côte-à-côte, au même format, s’émancipent de leur contexte d’origine pour dialoguer entre elles avec autant de fracas que de complicité. Ces affiches nous rappellent la faculté incroyable des images à pouvoir se renouveler sans cesse selon les lieux, l’époque et le public, sans jamais se contredire. Le lien entre son auteur et son destinataire se voit ré-interrogé pour finalement mieux être reconsidéré.

Professionnels exposés : Louise Aleksiejew, Camille Besse, Christophe Besse, Biche, Anne-Lise-Boutin, Pascal Colrat, Dugudus, Gilles Dupuis, Philippe Geluck, Jochen Gerner, Sébastien Marchal, Malte Martin, Antoine Medes, Nat, Renaud Perrin, Thierry Sarfis, Vanessa Vérillon, Willis from Tunis, Jean-Pol Rouard et Stéphane Trapier.

« Un œil piquant à la pointe du crayon »

Christophe Besse

Le dessin de Christophe Besse a ce pouvoir d’exception de nous livrer des saynètes sans jamais les figer. D’un trait léger, enjoué même, ses images s’animent sous notre regard attentif – ne filez pas trop vite, prenez le temps de fouiller chaque détail du décor, de remarquer chaque expression des visages, d’interpréter chaque geste des personnages. Il y a de quoi faire. Toutes ces images sont autant de clins d’œil complices entre amis face à un détail amusant de la vie quotidienne.

D’abord arrive l’image, puis presque aussitôt le texte. Aucune cruauté, seule la justesse des mots qui piquent sur le vif la nature absurde, et pourtant si vraie, de la situation. Christophe Besse aime tous ses personnages, même les plus bêtes, et c’est avec la plus grande tendresse qu’il dresse un réel portrait critique de notre société ultra connectée, pour laquelle les priorités (écologiques par exemple) de son époque semblent devenues accessoires même si elles se réclament à grands cris de la plus haute conscience qui soit.

Dans la pure tradition du dessin d’humour anglo-saxon – pensons en particulier aux pages illustrées du New Yorker -, Christophe Besse s’attaque à l’immensité du monde par petits bouts et chaque morceau choisi nous parle finalement d’un tout.

« Quand on parle du loup , on envoie la Biche »

Biche n’a aucun mal à choisir ses proies puisque ce sont généralement elles qui s’offrent à lui à coup de grands titres dans la presse quotidienne, sans aucune pudeur. Il les capture d’un trait. Il les tient tous : Marine Le Pen avec ses dents acérées de piranhas, François Hollande, sorte de monobloc à qui l’on peut tout faire endurer, Nicolas Sarkozy qui tel un caméléon se fond dans n’importe quel décor, François Fillon dont la paire de sourcils sonne comme deux poids morts ou encore Donald Trump dont la tête revêt la palette la plus criarde du lot — les daltoniens ont ici bien de la chance. Sans parler de sa passion pour les robes, quelles qu’elles soient. Car pour un dessinateur comme Biche, une soutane comme une burka, c’est tout simplement du pain béni. Elle s’adapte à tous les terrains, incorpore tout sous ses jupons, épouse toutes les formes même les plus informes. On ne peut que penser au chapeau du « Petit Prince » de Saint-Exupéry qui n’est autre qu’un boa digérant son éléphant et qui tromperait n’importe qui, mais Biche, lui, ne s’y trompe pas. Il voit clair dans le jeu des uns et des autres. Il révèle l’insondable et moque l’indicible. Les loups devraient décidément hurler un peu moins fort s’ils espèrent encore pouvoir passer entre les mailles de son filet de papier, le plus redoutable qui soit.

Reportages dessinés

La pratique du reportage dessinée est par nature très immersive. Elle permet de s’approcher au plus près de son sujet, progressivement, et d’investir le terrain. Qu’il s’agisse d’un lieu ou même d’une personne, l’un allant rarement sans l’autre, le dessinateur s’expose lui aussi. Il observe mais son travail est à son tour observé, bien souvent en train de se faire, avec tout ce que cela comprend d’incertitudes et de pudeur. Il s’opère alors nécessairement une forme d’échange en temps réel.
Le reportage dessiné existe depuis longtemps mais il reprend ses lettres de noblesse depuis quelques années grâce à la bande dessinée d’une part et à la presse trimestrielle d’autre part, en particulier dans les mooks (revues hybrides à mi-chemin entre le magazine et le livre).

Ces ouvrages ont été réalisés en deuxième année de l’option design graphique, dans le cadre de l’atelier illustration de Sarah Fouquet. Chaque étudiant a produit aussi bien ses textes que ses images, dans un souci de documenter le lecteur, et s’est également saisi des questions éditoriales afin de rendre l’objet le plus autonome possible.

Textes de Sarah Fouquet

Pressez-vous #9

mardi 14 mars 2017
 
	

Pour sa 9ème édition de Pressez-vous, l’ésam de Caen/Cherbourg fait la part belle à toutes les images graphiques d’actualité, de tous types (affiches, dessins de presse, illustrations, reportages dessinés…). L’actualité, dont les ressources sont intarissables et chaque jour plus surprenantes, invite donc autant les étudiants que les professionnels à croiser leurs regards. La crise des réfugiés indigne. L’élection de Trump aux États-Unis inquiète. La campagne électorale préoccupe… D’ une image à l’autre les signes s’entrechoquent, s’interpellent, se répondent, traversant les supports, changeant de format ou d’écriture. Cet ensemble d’expositions dessine les contours d’un paysage certes tourmenté et dont les perspectives sont plus qu’incertaines, mais la simple existence de ces images garantit notre pouvoir de discernement, de libre expression et de projection dans l’avenir. Nous pouvons prendre le pouls du monde, en attendant l’année prochaine.

Télécharger le dossier de presse > ici

Informations pratiques

Inauguration le mardi 21 mars
18h Rencontre-discussion avec Christophe Besse, auditorium
19h Vernissage des exposition, atrium

Exposition du 21 mars au 7 avril 2017
du lundi au vendredi de 10h à 18h30
ésam Caen/Cherbourg – site de Caen
17 cours Caffarelli
14000 Caen

Évènement organisé par les étudiants de 2ème année de l’option design graphique de l’ésam Caen/Cherbourg

relations extérieures /partenariats / presse
Maud Gattelier, Paul-Aymar Greuet, Marie Guiborat, Lola Li, Agathe Ruelland

communication visuelle
Léa Arnaud, Simon Bouvier, Charly Derouault, Mathilde Kappler, Cem Tasci, Maxime Urbain

scénographie d’exposition
Hugo Alvarez, Gwendoline Chicot, Maurine Gautier, Valentin Guesdon, Aude Fatus, Julie Noel

fabrication
Charlène Astier, Omar Chaaban, Se Ho Kim, Juliette Lebourgeois, Heeseo Park

coordination générale
Sarah Fouquet

responsable de la communication
Sophie Kerleaux

déléguée académique pour l’éducation
aux médias d’information

Emmanuelle Griffon

partenaires
Académie de Caen, Centre pour l’éducation aux médias d’information, École Supérieure d’art de Cambrai, Graphisme en France

« Design & Société », Cycle de conférences design graphique

jeudi 16 février 2017

Conception graphique : Arthur Billaud / Fonte numérique : Commune de Sébastien Marchal

 

« Design et société »

Chaque jour, le design s’insinue dans nos vies, plaçant l’usager au cœur de sa réflexion. Soucieux de son impact, généreux dans ses propositions, il influence notre perception du monde et altère nos rapports aux autres. Le design est une discipline qui vise à donner forme aux idées, à fabriquer des scenarii plus qu’à multiplier les objets prétendument nouveaux. Il interroge nos usages plus qu’il ne prétend systématiquement trouver des solutions fonctionnelles. Notre époque contemporaine, dans toute sa complexité, place le design à la croisée des enjeux, à la fois éthiques, sociologiques, économiques, techniques. Ses espaces d’intervention ne cessent de se déplacer de la sphère privée à la sphère publique. Comme l’histoire l’a déjà prouvé, que ce soit au XIXe siècle avec le mouvement Arts & Crafts, ou bien au XXe siècle avec l’école du Bauhaus, le design est capable de participer très activement à des projets de société plus égalitaire, d’améliorer des usages et de diffuser des idées novatrices.. Au vue des mutations perpétuelles de notre paysage social et politique, comment le rôle du design peut-il se renouveler? Le design doit-il simplement s’adapter aux contextes, ou bien peut-il proposer des alternatives aux schémas actuels de nos sociétés? En quoi, le design a-t-il un réel pouvoir de suggestion sur notre avenir commun?

 

Mercredi 1er mars > Des cris, des corps, des formes, des ires : graphisme et société, Sébastien Marchal, designer graphique et dessinateur de caractères

Mercredi 8 mars > Éthiques et champs d’action du design graphique français : état des lieux, Yann Aucompte, professeur de design graphique, agrégé d’Arts Appliqués, doctorant Paris VIII, sous la direction de Roberto Barbanti, dans le cadre de l’EDESTA, TEAMeD-AIAC, graphismeartimplique.design

Mercredi 15 mars > La refabrication, pour une appropriation des objets, Léa Barbier , designer objet, leabarbier.fr

Mercredi 29 mars > Design des politiques publiques : quand le design s’attaque à la bureaucratie, Laura Pandelle, designer de services et Lilas Ozanne designer graphique stagiaire, la27eregion.fr

Mercredi 5 avril > Design, révolution urbaine et critique de la vie quotidienne. Regards sociologiques pour une politique de l’émancipation. , Simon Le Roulley, sociologue, CERReV, Université de Caen Normandie

Ce cycle de 5 conférences proposé par l’option design graphique est ouvert à l’ensemble des étudiants de l’école ainsi qu’au public extérieur.
> 18h à l’auditorium

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Exposition portes ouvertes 2017

jeudi 16 février 2017

Ce samedi 4 février l’ésam Caen-Cherbourg à ouvert ses portes au public sur ses deux sites de 9h à 18h. De nombreux visiteurs ont pu venir visiter l’ensemble des espaces pédagogiques des différentes options et années d’études, des espaces d’accrochage, des ateliers techniques… L’association des étudiants a également organisé de nombreuses expositions et animations. Comme chaque année l’option design graphique s’est très fortement mobilisée.

Vue de l’atelier des étudiants de 3e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

« Color Works » atelier de Tanya Rodgers), 2e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

Vue de l’atelier des étudiants de 2e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

Vue de l’accrochage des étudiants de 4e et 5e années Éditions © photo de Sarah Fouquet

Vue de l’accrochage des étudiants de 4e et 5e années Éditions © photo de Sarah Fouquet

 

Reportages dessinés (atelier de Sarah Fouquet), 2e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

Ateliers de dessins (Sarah Fouquet), 2e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

Photographie (atelier de Michaël Quemener), 2e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

Exercices de typographie (atelier de Sandrine Nugue), 2e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

Vue de l’atelier des étudiants de 2e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

Vue de l’atelier des étudiants de 3e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

Carnets de dessin des étudiants de 3e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

Vue de l’atelier des étudiants de 3e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

Typographies modulaires (atelier de Sandrine Nugue), 3e année Design Graphique © photo de Sarah Fouquet

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Programme illustration DG2, sem 3 / 2016-17

lundi 3 octobre 2016

Jeudi 13 octobre 2016 >
– Matin (salle de cours A21 bat A) / Introduction « Reportage dessiné » / Projection / Consultation d’ouvrage.

– Après-midi (atelier DG2) / Entretiens individuels / Proposition de 3 pistes de recherche / Sélection
Avant la séance : réfléchir à 3 sujets différents de reportage dessiné et apporter tout le matériel nécessaire pour dessiner
Vendredi 28 octobre 2016 >
– Après-midi (atelier DG2) / Présentation premiers dessins + légendes / réalisation chemin de fer + planning de travail

Vendredi 4 novembre 2016 >
Après-midi (atelier DG2) / Rendu chemin de fer / Présentation dessins + textes/ Réalisation maquette en blanc

Vendredi 9 décembre 2016 >
– Après-midi (atelier DG2 et salle info) / Pré-rendu dessins + textes / Rendu maquette en blanc

Vendredi 16 décembre 2016 >
– Après-midi (atelier DG2 et salle info) / Rendu textes / Présentation dessins / Réalisation mise en page

Vendredi 6 janvier 2017 >
– Matin (atelier DG2 et salle info) / Rendu dessins et mise en page / Impressions et façonnage

– Après-midi (salle de cours bat A) / Introduction « Images graphiques d’actualité » / Projection / Formation équipes de travail sur la conception de l’exposition (communication, scénographie, fabrication) / Réfléchir à 3 images
Avant la séance : apporter un journal quotidien du jour ou hebdomadaire de la semaine, ou télécharger des articles depuis le site d’information ( sélectionner des articles concernant la campagne présidentielle / Matériel pour dessiner + calque

Programme dessin DG2, sem 3 / 2016-17

lundi 3 octobre 2016

Vendredi 14 octobre 2016 >

– Matin : « Le corps » = cours théorique salle cours bat A + pratique modèle vivant (composition multi techniques et multi-formats, pauses moyennement courtes de 3 à 20 min) Atelier A33

matériel requis = carnets de dessin, grandes feuilles de grammages différents, crayons, encres, pinceaux, aquarelles,craies, crayons de couleur…

> poursuivre la séance dans ses carnets par une dizaine de croquis pour la séance du 4 novembre 2016

 

– Après-midi :  Dessiner l’espace » = cours théorique salle cours A22 bat A + dessin en extérieur

matériel requis = carnets de dessin, crayons, encres, pinceaux…

> poursuivre la séance dans ses carnets par une dizaine de croquis pour la séance du 4 novembre 2016

Vendredi 28 octobre 2016 >
– Matin : « Histoire de la couleur » = cours théorique salle cours bat A + pratique couleur atelier DG2

matériel requis = magazine à découper, gouaches, brosses, papier épais, ciseaux, colle…

> finir les échantillons de couleur pour la séance du 9 décembre

Vendredi 4 novembre 2016 > PRÉSENTATION DES CARNETS DE CROQUIS

– Matin : pratique modèle vivant (calligraphie gestuelle d’après des pauses courtes 3 à 5 min, cf. Michaux, Dautremont…) atelier A25

matériel requis = carnets de dessin, grandes feuilles de grammages différents, encre de chine, pinceaux, brosses, calame, bâton, fusain…

> poursuivre la séance dans ses carnets par une dizaine de croquis pour la séance du 9 décembre

Vendredi 9 décembre 2016 >

Matin : pratique couleur (design d’un diptyque chromatique format A3) atelier DG2

matériel requis = magazine à découper, gouaches, brosses, papier épais, ciseaux, colle, grande feuille de papier…

> finaliser les 2 compositions pour la séance du 4 janvier 2017

Vendredi 16 décembre 2016 >

Matin : séance de croquis en extérieur (lieu à définir)

matériel requis = carnets de dessin, crayons, encres, pinceaux…

> poursuivre la séance dans ses carnets par quelques croquis pour la séance du 12 janvier 2017

Vendredi 4 janvier 2017 >

Matin : pratique modèle vivant (zoom, changement de cadrages, BD-narration sur le corps, pauses de 5 à 20 min) atelier A24

matériel requis = carnets de dessin, grandes feuilles de grammages différents, crayons, encres, pinceaux, aquarelles, craies, crayons de couleur…

> poursuivre la séance dans ses carnets par une dizaine de croquis pour la séance du 12 janvier217

Après-midi : Pratique couleur (finalisation diptyque chromatique et équivalence CMJN sur écran) atelier DG2 + salle info

matériel requis = papier épais, ciseaux, colle, grande feuille de papier…

> imprimer la version numérique et rapporter le diptyque chromatique et les recherches pour la séance du 12 janvier2017

Jeudi 12 janvier 2017 > ÉVALUATION CARNETS DE DESSINS / MODÈLE VIVANT ET COULEUR

Matin : pratique modèle vivant (grand format, pause longue) atelier A24

matériel requis = carnets de dessin, crayons, encres, pinceaux, feuilles grand format ou rouleau de papier 180g/m2 minimum…

Rendu de tous les travaux : carnet de croquis + modèle vivant + couleur