/// OFFRE DE STAGE > Chargé de l’accueil du public et de la médiation Exposition Liz Deschenes, Sam Lewitt, Scott Lyall, Sean Paul, Eileen Quinlan, Blake Rayne, Nora Schultz & Cheney Thompson Entre le 5 juin et le 23 août 2009.
catégorie ‘stages’
Stage / Confort Moderne
jeudi 23 avril 2009Offres de stage
vendredi 20 mars 2009
Date de publication de l’offre : 12 Mars 2009
L’Atelier Equitable est une jeune structure de commerce équitable créée en janvier 2007. Nous importons et distribuons toute une gamme de produits fabriqués selon les principes du commerce équitable.
L’Atelier Equitable offre à toute organisation (entreprises, collectivités, comités d’entreprise, associations…) la possibilité de mettre en œuvre une politique d’achat plus éthique en leur proposant des cadeaux évènementiels, des accessoires de bureau, ainsi que des objets publicitaires originaux et éthiques.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site www.atelier-equitable.com.
Description du poste
Date de début de stage : Immédiate
Durée du stage : variable selon le cursus. Idéal de 15jours à 1mois
Lieu : Mondeville
En relation avec la gérante et dans le cadre d’une activité en développement, le stagiaire accompagnera l’entreprise dans sa démarche de communication externe.
Dans ce cadre, il(elle) sera chargé(e) d’élaborer un book photo de nos produits > shooting de produits avec et sans mise en scène, retouches des photos, possibilité de montage photos, montage du book complet
Profil requis
De formation bac +2 (minimum) en communication graphique, vous possédez un sens créatif pour la mise en scène, une spécialité photographique est indispensable.
Vous maîtrisez les logiciels Photoshop et Xpress / Indesign ou Illustrator et autres logiciels de retouches et montages.
Vous êtes méthodique, organisé et rigoureux.
Rémunération : à définir
Info & contact
Julie ROUSINAUD – Manager
tél/fax : 02 31 82 74 18
Envoyer CV et lettre de motivation par e-mail à commercial@atelier-equitable.com
2 – Offre de stage : Océan Assistance
Nous recherchons un ou une étudiante pour un stage en collaboration avec notre équipe de développement. Le stage consisterait à créer des boutons pour nos progiciels. Nous sommes en cours de création d’un progiciel pour le domaine équin, qui sera diffusé au niveau national, voir international.
Ces boutons devront s’intégrer parfaitement dans notre interface graphique et correspondre à l’identité de l’entreprise. Le stage peut commencer à partir de début avril.
Contact : Gabrielle Mainini responsable service Développement
20 rue du Four / 14790 Fontaine-Etoupefour
02 31 71 24 42 / 06 32 24 14 97 / gabrielle@oceany.com
2 – PROPOSITION DE STAGE / MONTAGE D’ EXPOSITION
Exposition du 16 mai au 31 octobre 2009
Vernissage vendredi 16 mai à 12h
Aux Moulins Albigeois – Albi
Commissariat : Jackie-Ruth Meyer
Malachi Farrell traite des grandes questions politiques et sociales, passées et présentes, sur un mode narratif, théâtralisé, par lequel l’imaginaire favorise la prise de conscience. Il utilise le son, la lumière, des machines insolites, des figures et des objets articulés, pour la réalisation desquels il associe bricolages ingénieux et technologies de pointe.
Sa démarche est celle de l’engagement, de la résistance, de la mise à nu de la violence contre l’humanité et des systèmes qui l’activent. Ses oeuvres suscitent simultanément l’émotion et la réflexion, catalysés par l’humour et l’ironie.
Le titre de l ’exposition « Strange fruit in the street », entièrement crée pour les Moulins à Albi, fait référence au poème « Strange Fruit », décrivant le lynchage d’un Noir, écrit au milieu des années 30 par Abel Meeropol, enseignant juif du Bronx dont le nom de plume est Lewis Allen. Il a été interprété pour la première fois par Billie Holiday en 1939 au Café Society, à New York, premier café « intégré ». Cette chanson est reprise dans le film « Lady sings the blues ». Elle est considérée comme le premier « protest song » américain et constitue les prémices de la lutte pour les droits civiques des années 50.
Malachi Farrell transpose le lynchage de l’homme noir à la situation mondiale actuelle, où la population et l’environnement sont détruits par la misère sociale et l’inconscience écologique. L’exposition est un parcours dans la rue d’un mauvais quartier aux Etats-Unis, un lieu à la marge, métaphore de toutes les villes en crise… dans un univers sombre peuplé d’automates animés.
Proposition de stage : montage d’exposition en présence de l’artiste
Deux étudiant(e)s durant neuf jours : du 07 au 15 mai 2009
Défraiements :
Les stagiaires sont nourris et logés et leurs frais de transport sont pris en charge (sur la présentation d’un justificatif)
Lieux du stage : ALBI (TARN)
CONTACT : Jérôme CROS / 06 72 52 22 57 / 05 63 47 49 95 / jerome.cros@lelait.net
Exposition du 30 mai au 6 septembre 2009
Vernissage vendredi 29 mai à 18h30
A l’Hôtel de Viviès – Castres
Commissariat : Jackie-Ruth Meyer
Camille Henrot explore le temps comme un continuum où passé, présent et avenir fusionnent dans l’imaginaire des chercheurs de sens que sont les artistes. C’est ainsi que l’Histoire du monde et les petites histoires individuelles, peuvent entrer en résonance avec les quêtes existentielles des êtres humains.
Son travail se situe entre anthropologie visuelle et anticipation et s’inscrit dans l’espace par des formes appartenant au vocabulaire artistique et environnemental d’aujourd’hui. Elle utilise tous les moyens d’expression, film, son, photographie, dessin, sculptures, installation, pour développer sa recherche avec la grande liberté que donnent les associations visuelles sans frontières culturelle ou rationnelle. Les images, les formes et les objets produits sont activés par leurs références d’origine, par leur réinvention subjective et par les liens sensibles qu’ils établissent entre eux.
L’exposition « Pour ne pas mourir deux fois » à l’Hôtel de Viviès à Castres poursuit son dessein égyptien, dont la première partie est montrée à la Galerie Kamel Mennour, à Paris, en mars et avril. Plusieurs oeuvres nouvelles sont crées à cette occasion dont les « Sphinx », dessins au pastel gras, dont la représentation mythique se détériore petit à petit en une grande frise, par le traitement rapide à la main sur les images originelles, résidus mythologiques, et les « Silex », ou « Collections post historiques », photographies coloriées, pierres du passé projetées au futur. L’installation dans le jardin du centre d’art, où le mobilier renoue avec son origine par assemblage, rejoue une scène du sacrifice primitif ou une scène de capture évoquant les films de western. Les « Cages », sculptures-architectures de fer et de bois, forment un contrepoint, à l’intérieur du centre d’art, en déplaçant ce qui appartient à la nature vers le monde domestiqué.