novembre 2008

Liste des exposés / DG2

vendredi 21 novembre 2008

       Les exposés devront être rendus sous forme rédigée le 13 janvier, en Actualité du Graphisme ce qui nécessite de faire des empreints à la Bibliothèque de l’École en fonction de sa fermeture le 5 décembre. 

Visiter les sites de différentes bibliothèques de Caen > http://catalogue-biblio-caen.caenlamer.fr/cgi-bin/abwebpbc/G1/

       Chaque travail devra faire au minimum 700 mots et au maximum 1400 mots, soit l’équivalent d’une à deux bonnes pages dactylographiées. Les exposés respecteront un plan structuré : introduction, parties et sous-parties, conclusion, le tout articulé par des titres. Une courte chronologie et une bibliographie détaillée (comprenant les ouvrages et les expositions comme les adresses des sites internet qui vous auront été utiles pour travailler) figureront sur une feuille à part, hors quota de mots. L’iconographie servira à la mise en page et à la projection lors de l’exposé oral, et devra être légendée. Il serait intéressant de combiner la biographie de l’artiste avec des commentaires de documents (analyses d’œuvres, comparaisons avec d’autres travaux…) pour animer son discours et architecturer son texte.

       Certains ont choisi d’eux-même leur sujet, les autres se sont vus attribuer des noms, le plus possible en fonction de leur sensibilité.

– Camille > Robert Massin
– Pierre > John Wozencroft
– Marie > Etienne Robial
– Martin > Zuzana Licko
– Clémence > Paul Rand
– Annabelle > Paul Cox
– Alice > Tomi Ungerer
– Mathieu > David Carson
– Hafid > John Maeda
– Alexandra> Catherine Zask
– Julien M. > Jose Muller-Brockmann
– Céline Q. > Max Bill
– Rausch > Neville Brody
– Céline T. > Deberny & Peignot
– Alexandre > Albert Boton
– Tony > Peter Knapp

Contre la fermeture de l’École d’Art de Rueil-Malmaison

jeudi 20 novembre 2008


COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU 24 OCTOBRE 2008


L’École Supérieure d’Arts de Rueil-Malmaison, seule école territoriale parmi les trois établissements d’enseignement supérieur « beaux-arts » en Ile-de-France, est menacée de disparaître : la mairie entend se désengager en totalité du financement de l’école, laquelle ne pourrait plus dès maintenant accueillir de nouveaux étudiants, et disparaîtrait une fois achevé le cursus de trois ans dû aux lauréats du concours d’entrée 2008.

Cette école existe comme classe préparatoire publique depuis 1988 ; en tant que telle, elle est une des rares écoles publiques en France à préparer l’entrée aux écoles nationales et internationales d’arts, de design et d’arts appliqués. Elle a d’autre part été agréée en 2001 par le Ministère de la Culture pour préparer un diplôme national d’arts plastiques (DNAP, niveau licence) option art en trois ans.

Au-delà du cas d’espèce, c’est la pérennité de l’enseignement artistique en France qui est en question : sur les 59 écoles supérieures d’art réparties sur le territoire, 48 sont des écoles territoriales, c’est à dire financées en quasi totalité par leur ville d’accueil, et par conséquent dépendantes de la seule volonté de l’équipe municipale en place, alors que l’enseignement supérieur devrait être porté par l’État ou la Région.Dans le contexte actuel d’inquiétude financière, où de surcroît l’État tend à restreindre les ressources allouées aux municipalités, les écoles d’art apparaissent comme des candidates idéales aux sacrifices budgétaires. Bien que le caractère anormal et dangereux de cette situation soit connu de longue date, les gouvernements successifs ne se sont pas donnés les moyens d’y remédier, et l’État semble plus éloigné que jamais de sa responsabilité à l’endroit de l’enseignement supérieur des arts plastiques  : le Ministère de la Culture n’a rien de mieux à proposer aux écoles placées sous sa tutelle qu’un encouragement cynique à se trouver elles-mêmes de nouvelles sources de financement, les régions pour leur part ne sont actuellement dotées ni de la mission, ni des moyens d’assurer cette tâche.

Tout ceci intervient dans le contexte de l’harmonisation européenne des diplômes, plaçant les établissements devant la double contrainte d’avoir à changer de statut pour obtenir l’agrément de leurs diplômes, sans pourtant qu’aucun statut viable ne leur soit vraiment proposé – l’Europe servant ainsi une nouvelle fois de prétexte à une dénégation de responsabilité, voire à la liquidation en règle d’un certain nombre d’écoles.

Qui va désormais assumer la charge de l’enseignement artistique en France ? Veut-on encore d’un tel enseignement dans ce pays, alors même que la création intellectuelle et artistique prend une part croissante dans les échanges mondiaux ?

Loin de n’être qu’un petit monde fermé sur soi, héritage désuet d’une époque révolue, pépinière pour le marché ou simple lieu de transmission académique, une école d’arts forme ses étudiants à se confronter aux notions de création, production et diffusion en prise directe avec des contextes économiques et sociaux qui débordent le champ de l’art stricto sensu. Elle est un lieu de questionnement et de recherche, un laboratoire d’expérimentations ouvert sur le monde où sont pris en compte des paramètres variés – citoyenneté, urbanisme, technologies, économie – et des publics hétérogènes. Elle constitue une force de proposition originale, par laquelle la transversalité des compétences, la mobilité et la capacité d’innovation, notions aujourd’hui incessamment valorisées par nos gouvernants, se trouvent de fait déjà couramment mises en œuvre.

Les candidats, du reste, ne manquent pas pour une telle expérience, notamment en région parisienne où l’offre actuelle est déjà notoirement sous-dimensionnée, rendant d’autant plus scandaleuse la fermeture d’une école dont, par ailleurs, la qualité d’enseignement est reconnue par ses étudiants, par les institutions qui accueillent ces derniers pour la poursuite de leurs études en second cycle, voire par les acteurs politiques et institutionnels qui entreprennent néanmoins de l’étrangler.
Si l’on soustrait au paysage actuel les 35 places offertes à Rueil en première année, resteront les 70 de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris et les 40 de l’École Nationale Supérieure d’Art Paris-Cergy, pour une région de 12 000 000 d’habitants (à titre de comparaison :  5 écoles en Rhône-Alpes pour une population de 6 000 000) : à qui fera-t-on croire que la fermeture de cette école ne serait qu’un problème local ?

Les enseignants de l’école en appellent à tous les interlocuteurs concernés par l’enseignement artistique dans sa globalité pour que soit enfin envisagée sérieusement une solution viable au statut et au financement des écoles ; plus particulièrement l’État, auquel incombe jusqu’à présent la charge de l’enseignement supérieur, la région, vouée à étendre ses prérogatives, toutes les collectivités et institutions susceptibles d’apporter un soutien, et l’ensemble du réseau des écoles, concernées demain par de semblables mesures. Une pétition lancée en juin a déjà recueilli plus de 2700 signatures.

L’équipe de l’École Supérieure d’Arts de Rueil-Malmaison

Au 18 novembre il y avait 3357 signatures, pour signer la pétition > http://esarueil.e3b.org/

dimanche 16 novembre 2008

Schéma extrait de Aide au choix de la Typo-graphie de Gérard Blanchard aux éditons Perrousseaux
légende originale : “Traits pertinents du signe-lettre établis d’après la littérature traditionnelle du sujet (paléographique et typographique)”

La minuscule Caroline est imposée en Europe par Charlemagne, et devient l’écriture officielle en 789. Réforme qui profite à l’Église pour lutter contre l’ignorance du Clergé. C’est ce modèle d’écriture qui s’avère le pus adapté à la formation des lettres bas de casse, aussi il sera le point de départ de l’atelier de dessin de caractères.

/// Lexique >

Alphabet : mot formé à partir du nom des deux premières lettres de l’alphabet phénicien, ALEPH et BETH, qui devinrent ALPHA et BETHA chez les Grecs. Ensemble de lettres servant à noter les sons propres à une langue et disposées dans un ordre conventionnel.

Bas de casse : autre nom des lettres minuscules. Partie inférieure de la casse, tiroir compartimenté dans lequel sont rangées les lettres d’imprimerie. D’un usage plus fréquent que les majuscules, les minuscules sont placées dans les cases inférieures pour en faciliter la préhension et économiser les gestes du compositeur.

Chasse : encombrement latéral d’une lettre ; un M chasse plus qu’un I.

Corps : encombrement vertical des caractères typographiques. (…) La taille des caractères s’exprime en point Didot en Europe et en points Pica aux États-Unis et en Grande-Bretagne.

Délié : du latin delicatus, délicat, mince. Partie fine d’une lettre qui contraste avec le plein.

Ductus : du latin ducere, conduire. Le ductus détermine l’ordre et le sens des gestes à effectuer pour former les traits qui composent les différentes parties d’une lettre.

Empattement : terminaison du fût de la lettre à sa base.

Hampe : du latin hasta, lance. Trait vertical ou oblique de certaines lettres minuscules descendant sous la ligne d’écriture. On emploie également les termes « descendante » ou « jambage ».

Œil : l’œil d’un caractère correspond à sa partie imprimante, en relief. Appelé aussi « hauteur d’x », l’œil désigne la hauteur des minuscules courtes, autrement dit des lettres sans ascendantes ni descendantes.
 
Extrait du livre de Laurent Pflughaupt Letrres Latines, Rencontres avec des formes remarquables, aux éditions Alternatives

/// Bibliographie > ouvrages disponibles à la bibliothèque de l’école
L’aventure des écritures : naissances / sous la direction de Anne Zali ; et Annie Berthier (1997)  
Écritures : miroir des hommes et des sociétés / Ladislas Mandel (1998)  
Calligraphie : du signe calligraphié à la peinture abstraite / Claude Mediavilla ; préface Pierre Restany ; et Gérard Xuriguera (1993) 
Lettres Latines, Rencontres avec es formes remarquables / Laurent Pflughaupt (2003)
Petit manuel de composition typographique / Muriel Paris (1999)
Typographie : guide pratique / Damien Gautier (1998)
 Encyclopédie de la chose imprimée : du papier à l’écran / sous la direction de Marc Combier ; et Yvette Pesez ; préface de François Richaudeau (1999)
Aide au choix typographique : cours supérieur / Gérard Blanchard (1998)

Plan de quartier du 05/12/08

dimanche 16 novembre 2008


Centre Pompidou
Place Centre Pompidou 75004 Paris
http://www.centrepompidou.fr/

La MEP (Maison Européenne de la Photographie)
5/7 rue de Fourcy 75004 Paris
Tél. : 01 44 78 75 00
http://www.mep-fr.org/

Muji (papeterie)
47 Rue Francs Bourgeois 75004 Paris
http://www.muji.fr/

 
Mona Lisait (librairie-solderie)
17bis rue Pavée 75004 Paris
http://www.monalisait.fr/


Centre Culturel Suisse
32 et 38 rue des Francs-Bourgeois 75003 Paris
tel : 01 42 71 44 50
http://www.ccsparis.com/


Centre Culturel Suédois
11 rue Payenne 75003 Paris
tel : 01 44 78 80 27
http://www.si.se/


Galerie Anatome
38 rue Sedaine 75011 Paris
tel : 01 48 06 98 81
http://www.galerie-anatome.com/


Offres de Stages

vendredi 14 novembre 2008

Voici quelques possibilités de stages éventuels, si des propositions vous intéressent faites-le moi savoir.


– Cécile Alinne, archéologue et professeur à l’Université de Caen, cherche un graphiste, muni d’un ordinateur portable, capable de l’aider sur Illustrator à finaliser un travail de relevés de fouilles. Ce stage conventionné devra se faire sur une durée d’environ une semaine jusqu’à la mi-décembre, à l’Université de Caen. L’emploi du temps est à négocier. > cecile.allinne@unicaen.fr

Atoustages recherche pour une entreprise un étudiant pour réaliser des chartes graphiques …. Contact : 0231278087

AU, « officiel des spectacles valencien », peut être amené à recevoir des stagiaires, à Valence (Espagne) >  http://willy.k.free.fr/

Prisma Presse cherche régulièrement des maquettistes pour mettre en page ses magazines > http://www.prisma-presse.com

– Un graphiste libanais peut proposer des stages à des étudiants à Beyrouth > en attente de contact

– Le Musée des Arts Décoratifs pourrait être susceptible de prendre un étudiant en stage cet été, mais durant l’année les stages de moins de trois mois sont impossibles.

Reliure japonaise

samedi 8 novembre 2008



Calendrier cours de graphisme

lundi 3 novembre 2008
17 novembre au matin : Rendu Lire en fête + calligraphie / DG2
17 novembre après-midi : cours / DG3
18 novembre de 9h à 10h : Réunion d’information pour le voyage à Paris / DG3
18 novembre après-midi : Actualité du Graphisme + Rendu public de la carte de vœux / DG2-DG3

25 novembre au matin : Pré-rendu du Printemps des Poètes / DG3
25 novembre après-midi : Rencontre Boréales / DG2-DG3
26 novembre au matin : Atelier de dessin de presse / DG3 ouvert aux DG2
25 novembre après-midi : Entretiens DNAT / DG3
 
5 décembre : voyage à Paris / DG3
13 janvier de 9h à 11h : entretiens sur rendez-vous / DG2-DG3
13 janvier après-midi : Actualité du Graphisme / DG2-DG3
 
20 janvier au matin : atelier de calligraphie / DG2
20 janvier après-midi : Rendu concours d’affiches / DG2-DG3 + cours / DG2
21 janvier au matin : Rendu Printemps des Poètes / DG3
21 janvier après-midi : Atelier de dessin de presse / DG3

Dessin de presse / DG3

dimanche 2 novembre 2008

/// Contexte > Participer au concours annuel de dessin de presse de l’École Estienne, Presse-Citron, mars 2009, http://www.pressecitron.fr/
       

       Cet atelier fonctionnera sous forme de table ronde collective : bilan de l’actualité, présentation des travaux, lecture de la presse quotidienne, critiques…

       Des articles seront proposés aux étudiants, mais il serait préférable que chacun les choisisse seul. Pour la première séance, il est donc demandé aux étudiants d’apporter un journal récent de leur choix.
       Chaque étudiant devra finaliser au moins cinq dessins traitant de l’actualité récente pour un ouvrage collectif, dont deux seront sélectionnés pour envoi à Estienne. L’ouvrage collectif sera librement imprimable par les étudiants et un exemplaire sera remis à a bibliothèque de l’école.


/// Objectifs >
• Aborder les idées complexes de l’actualité quotidienne par le dessin, le photomontage, les pictogrammes…
• Pouvoir réaliser une commande en un temps très limité
• Participer à une exposition collective à l’École Estienne durant la semaine de la presse  

/// Organisation > 16h de cours + 16h de travail personnel
18 novembre > Actualité du graphisme spécial Dessin de presse
25 novembre > 14h-18h atelier de dessin de presse
Durant la fermeture de l’école les étudiants devront réaliser une série d’un minimum de 5 dessins de presse.
21 janvier > 14h-18h atelier de dessin de presse, sélection des dessins à finalisés
Durant les vacances, finalisation des dessins sélectionnés.
23 février > 9h-13h impression des dessins de presse et réalisation du recueil
14h-18h exposition des images et envoie par mail des dessins de presse au concours Presse Citron

/// Règlement du concours >
Le concours Presse Citron est ouvert à tous les étudiants des écoles d’Art de France
Les dessins de presse présentés devront traiter exclusivement de l’actualité, de mars 2008 à mars 2009. 
Les candidats peuvent envoyer leurs images à l’adresse concourspressecitron@live.fr au format .tiff ou .jpeg, A5 à 300 dpi, < à 3 Mo, « nom_prénom.jpeg (ou .tiff) » 
Tout dessin doit présenter les caractéristiques suivantes :
 – format A5
 – mention des nom, prénom, établissement scolaire, classe, téléphone etadresse personnelle (postale et électronique) en pièce jointe s’il s’agit d’un envoi électronique. 
Chaque participant au concours recevra une invitation pour la soirée de remise des Trophées Presse Citron, à l’École Estienne.
Le lauréat sera désigné par un jury de professionnels et es résultats seront proclamés lors de la soirée de remise des Trophées Presse Citron.    
Le lauréat s’engage à ne pas réclamer de droits de publication.
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Références bibliographiques : 
presse quotidienne (Libération, Charlie Hebdo, Canard Enchaîné, Courrier International…)

Les années Charlie : 1969-2004 / présentées par François Cavanna et Philippe Val, ed° Hoëbeke 
Les aventures de l’art / Willem, ed° Cornélius 
(Presque) tout Topor / Laurent Gervereau, ed° Alternatives
Reiser forever / ed° Denoël Graphic
Les illustres / conception et réalisation Patricia Perdrizet ed° un Sourire de toi et j’quitte ma mère 
Covering the New Yorker : cutting-edge covers from a litterary institution / Françoise Mouly
Le Canard enchaîné : histoire d’un journal satirique 1915-2005 / Laurent Martin 
La Une « Libération » : 1973-1997 
Sempé : livre de l’exposition / Ville de Caen, 1984

Exposés Biblio Design / DG2

dimanche 2 novembre 2008

Durant la fermeture de l’école, du 5 décembre 2008 au 12 janvier 2009, il sera demandé aux étudiants de DG2 de réaliser un exposé sur un designer. D’après la liste publiée le 17 septembre sur le blog, vous sélectionnerez un nom et nous ferez connaître votre choix obligatoirement d’ici le 14 novembre afin que Thierry Weyd, Alain Roger et moi puissions dresser un calendrier de passages en Actualité du Graphisme.


Envoyez votre choix à sarahfouquet@gmail.com d’ici le 14 novembre 2008.

Concours d’affiches

dimanche 2 novembre 2008

/// Contexte :

       Le département Design Graphique a été sollicité par les organisateurs du Championnat de France Universitaire d’athlétisme en salle pour organiser un concours d’affiches. Il s’agit de moderniser l’image de la compétition et d’être novateur afin de communiquer plus efficacement sur un événement déjà bien couvert médiatiquement. Chaque année cette compétition se tient dans la Halle Michel d’Ornano à Mondeville et accueille gratuitement le public.
  Le concours est ouvert à l’ensemble du département Design Graphique, DG2 comme DG3, il est facultatif, mais reste très recommandé pour les DG2 car cela représente un excellent exercice de commande. La réponse peut-être le fruit d’un travail collectif.
       Les organisateurs sont très mobilisés et particulièrement enthousiastes à l’idée que ça soit des étudiants en graphisme qui répondent à la commande, aussi proposent-ils au lauréat un bon d’achat de 150€ à la FNAC et feront leur possible pour récompenser symboliquement l’ensemble des participants.
       La sélection de l’affiche se fera de façon démocratique puisqu’une exposition temporaire, très simple, sera organisée pour permettre aux étudiants de l’Université de voter. En revanche à l’occasion de la manifestation sportive et vu le cadre particulièrement adaptée de la Halle Michel d’Ornano (ancienne usine de fabrication d’engrais, chef d’œuvre de la Révolution Industrielle) une exposition sera organisée pour présenter au public l’ensemble des propositions. Il serait bien d’avoir un minimum de 15 affiches à présenter et de réfléchir à un accrochage cohérent et orginal.

/// Détails :

  Cette année le championnat aura lieu le 28 février. Les affiches seront présentes dans les écoles, les universités et dans de plusieurs lieux publics, son tirage sera de 150 exemplaires couleurs et son format sera au choix en A3 ou A2.
       L’affiche devra comporter certains logos ainsi que le texte suivant : 
« Championnat de France Universitaire Athletisme Indoor, Halle Michel d’Ornano, Samedi 28 février, entrée libre ».
  Quelques images pourront donner une idée du lieu et du type de compétitions qui s’y dérouleront. Ne les considérez aucunement comme une banque d’images obligatoire. Vous avez le droit de vous rendre sur les lieux pour y faire des dessins et prendre vos propres photos, vous y serez accueillis facilement. Il serait préférable de faire une recherche iconographique afin de voir ce que les graphistes ont pu déjà produire sur cette question pour réfléchir à une manière de bousculer les habitudes en matière d’image sportive.

/// Rendu :

  Un rendu sous forme d’accrochage à PH se fera en la présence des organisateurs le 20 janvier, à la suite duquel ils emporteront les affiches soumises au vote.
  Un crédit d’impression sera attribué à toute personne désireuse de participer au concours.