« En marge des archives » est la deuxième édition d’un atelier en partenariat avec l’Imec, mené sur un semestre avec les étudiants de 4ème année. Il s’agit d’hériter d’un fonds d’archives que l’Imec choisit de valoriser afin que les étudiants l’investissent dans le cadres de leurs recherches. Les étudiants se sont retrouvés face à un fonds exceptionnellement riche en terme de variétés de documents (carnets, manuscrits, lexique, croquis, photographies, cartographie, articles, …), créant une sorte de récit mythologique éclaté, traversant les supports. Ils ont pu présenter leurs travaux à la fin de la première journée de colloque sur Pierre Clastres, à l’Imec, et montrer la diversité des propositions graphiques qu’un tel fonds peut initier formellement.
catégorie ‘recherche’
Colloque Pierre Clastres / Imec
lundi 6 novembre 2017Colloque Pierre Clastres / 25 et 26 octobre 2017
mercredi 4 octobre 2017Les étudiants de l’atelier « En marge des archives » organisé par l’option Com-Éditions, en partenariat avec l’IMEC et la MRSH, présenteront leur travail le 25 octobre à l’Imec lors du colloque « Pierre Clastres, d’une ethnologie de terrain à une anthropologie du pouvoir ».
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25 & 26 octobre 2017
IMEC, abbaye d’Ardenne et MRSH Campus 1, Caen
À l’occasion des 40 ans de sa disparition, Anamnèse a décidé de rendre hommage à Pierre Clastres. Anthropologue spécialiste de l’Amérique du Sud (Paraguay, Brésil) formé dans la tradition structuraliste par Claude Lévi-Strauss lui-même, Pierre Clastres a pris ses distances avec cette tradition en proposant une épistémologie originale et complexe capable de renouveler la discipline.
L’esprit libertaire qui alimente ses écrits, à l’instar de La Société contre l’État, a offert une contribution majeure à l’anthropologie politique. À la fois critique du structuralisme et de l’économisme qu’incarnent les analyses marxistes orthodoxes de l’époque, son travail continue d’alimenter les réflexions d’universitaires comme de personnes impliquées dans des mouvements politiques. Son approche particulière qui trouve des continuateurs dans le champ anthropologique français ou américain, se pose comme un détour incontournable pour qui prétend produire une pensée sur l’État, le pouvoir, ou encore la guerre.
Ce colloque vise à réaffirmer l’importance des apports de Pierre Clastres, en présentant des travaux revisitant ses recherches ethnologiques, ses réflexions sur la chefferie et l’État, ou en interrogeant ses hypothèses sur la violence.
Les archives de Pierre Clastres sont consultables à l’IMEC-Abbaye d’Ardenne où elles sont conservées depuis 2011.
> Voir le programme complet du colloque
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En marge des archives / Pierre Clastres
vendredi 22 septembre 2017Dans le cadre du partenariat avec l’Imec, les étudiants de 4e année inscrits dans l’atelier « En marge des archives » ont été invités à investir le fonds d’archives de Pierre Clastres afin d’en proposer une lecture personnelle et augmentée. Cette 2e édition de l’atelier s’est fait en collaboration avec la MRSH et le département de sociologie de l’Université de Caen Normandie.
Dans un premier temps, au mois de mars, le groupe s’est rendu à l’Imec pour consulter les archives, dans une démarche d’initiation à la recherche, afin d’en tirer ses documents de références (textuels et iconographiques) nécessaires à développer un travail artistique. Accueillis par Marjorie Delabarre, responsable du pôle accueil chercheurs/bibliothèque et Pascale Butel, responsable du pôle archives, les étudiants ont eu une présentation extrêmement complète des documents et de la démarche anthropologique de Pierre Clastres.
Dans un second temps, Stéphane Corbin, maître de conférences en sociologie, membre de l’équipe CERReV, est venu rencontré les étudiants à l’ésam. Il leur a présenté les sujets de recherche et grandes notions abordées par Pierre Clastres, leur permettant de mettre en perspective les archives.
Durant les semaines suivantes les étudiants de l’option art et de l’option Com-Éditions ont ont mené des expérimentations plastiques et graphiques questionnant les contenus du fonds. À la fois fascinés par le récit de ses sociétés sans État et par la variété des documents mis à leur disposition (carnets de notes, manuscrits, répertoire de vocabulaire Guayaki, croquis, cartes, plans, schémas…), ils ont revisité les formes de l’archive autant qu’ils ont voulu donner une lecture contemporaine de cette histoire humaine aux dimensions mythologiques.
En attendant la présentation de leur travail lors du colloque d’octobre à l’Imec et à la MRSH, ils ont régulièrement rendu compte de leur avancement, y compris lors d’un entretien intermédiaire avec Stéphane Corbin au mois de juin. Certains ont donné une lecture dessinée des archives, d’autres photographique ou encore sonore.
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« Design & Société », Cycle de conférences design graphique
jeudi 16 février 2017
« Design et société »
Chaque jour, le design s’insinue dans nos vies, plaçant l’usager au cœur de sa réflexion. Soucieux de son impact, généreux dans ses propositions, il influence notre perception du monde et altère nos rapports aux autres. Le design est une discipline qui vise à donner forme aux idées, à fabriquer des scenarii plus qu’à multiplier les objets prétendument nouveaux. Il interroge nos usages plus qu’il ne prétend systématiquement trouver des solutions fonctionnelles. Notre époque contemporaine, dans toute sa complexité, place le design à la croisée des enjeux, à la fois éthiques, sociologiques, économiques, techniques. Ses espaces d’intervention ne cessent de se déplacer de la sphère privée à la sphère publique. Comme l’histoire l’a déjà prouvé, que ce soit au XIXe siècle avec le mouvement Arts & Crafts, ou bien au XXe siècle avec l’école du Bauhaus, le design est capable de participer très activement à des projets de société plus égalitaire, d’améliorer des usages et de diffuser des idées novatrices.. Au vue des mutations perpétuelles de notre paysage social et politique, comment le rôle du design peut-il se renouveler? Le design doit-il simplement s’adapter aux contextes, ou bien peut-il proposer des alternatives aux schémas actuels de nos sociétés? En quoi, le design a-t-il un réel pouvoir de suggestion sur notre avenir commun?
Mercredi 1er mars > Des cris, des corps, des formes, des ires : graphisme et société, Sébastien Marchal, designer graphique et dessinateur de caractères
Mercredi 8 mars > Éthiques et champs d’action du design graphique français : état des lieux, Yann Aucompte, professeur de design graphique, agrégé d’Arts Appliqués, doctorant Paris VIII, sous la direction de Roberto Barbanti, dans le cadre de l’EDESTA, TEAMeD-AIAC, graphismeartimplique.design
Mercredi 15 mars > La refabrication, pour une appropriation des objets, Léa Barbier , designer objet, leabarbier.fr
Mercredi 29 mars > Design des politiques publiques : quand le design s’attaque à la bureaucratie, Laura Pandelle, designer de services et Lilas Ozanne designer graphique stagiaire, la27eregion.fr
Mercredi 5 avril > Design, révolution urbaine et critique de la vie quotidienne. Regards sociologiques pour une politique de l’émancipation. , Simon Le Roulley, sociologue, CERReV, Université de Caen Normandie
Ce cycle de 5 conférences proposé par l’option design graphique est ouvert à l’ensemble des étudiants de l’école ainsi qu’au public extérieur.
> 18h à l’auditorium
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Rencontre avec Henri Raynal
lundi 21 novembre 2016Le colloque consacré à l’œuvre d’Henri Raynal s’est tenu en présence de l’auteur à l’Imec, les 17 et 18 novembre derniers. Sur invitation de François Bordes (chargé de mission sciences humaines à l’Imec) et Jean-Paul Rogues (maître de conférences à l’Université de Caen, membre de l’équipe LASLAR, spécialiste de l’œuvre d’Henri Raynal), les étudiantes de l’ésam ont pu présenter les projets menés lors de l’atelier « En marge des archives » . Elles ont pu exposer leurs expérimentations graphiques et expliquer leur cheminement de pensée devant une assemblée composée de chercheurs avertis mais surtout devant Henri Raynal dont l’œuvre les a mobilisées et passionnées des mois durant.
Leurs ouvrages ont pu être exposés au public le temps du colloque. Leurs interventions et la qualité de leurs réalisations ont été remarquées et saluées par le public et Henri Raynal lui-même. L’atelier s’est donc officiellement clos avec cette belle restitution et l’accueil chaleureux qui lui a été fait.
Bravo à Eunbi Cho, Clémentine Graciès, Kyungmin Lee, Louise Robin, Mathilde Sevaux pour leurs réalisations et merci à Amalia Vargas pour son prêt du module d’exposition.
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Colloque Henri Raynal / atelier « En marge des archives »
lundi 7 novembre 2016Suite à l’atelier proposé par la mention Éditions, « En marge des archives », en partenariat avec l’Imec, les étudiantes de 4ème et 5ème année Eunbi Cho, Clémentine Graciès, Kyungmin Lee, Louise Robin et Mathilde Sevaux exposeront leurs ouvrages et présenteront leurs travaux lors du colloque Henri Raynal les 17 et 18 novembre prochains.
Après avoir travaillé sur les archives de l’auteur, chacune ont choisi d’explorer son œuvre d’une manière aussi sensible que singulière, faisant se croiser leurs propres pratiques de l’image, de la typographie et de l’édition.
Colloque Henri Raynal / Imec
lundi 7 novembre 2016Colloque « Nouvelles locales du Tout. Henri Raynal »
Henri Raynal est un auteur prolifique qui ne cesse d’écrire depuis 50 ans. Sa production concerne aussi bien le roman que la philosophie, la critique d’art et l’essai littéraire. Sa route a croisé celle d’auteurs très célèbres (de Sollers à Breton ou Munier), et cependant, du fait de sa profonde originalité, il est demeuré mal connu, toujours aux marges du milieu littéraire où il a pourtant quelques admirateurs inconditionnels. Or, il est important que l’université assure sa vocation de tête-chercheuse en mettant au jour des œuvres destinées à se déployer dans le patrimoine national.
Ce colloque s’inscrit dans deux axes du LASLAR : la valorisation des archives de l’IMEC et du patrimoine normand et la réflexion sur l’image qui, dans la diversité de l’œuvre de Raynal, occupe une place importante.
17 (à partir de 10h) & 18 novembre 2016 (à partir de 9h30)
IMEC, abbaye d’Ardenne, 14280 Saint-Germain-la-Blanche-Herbe
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Journée d’études / Regards sur le mur : archives et représentation
samedi 25 avril 2015Pour cette première journée d’études du projet « Le mur : engagement graphique et création contemporaine » les intervenants ont regardé le mur politique du point de vue des archives.
L’idée d’un travail d’initiation à la recherche entre des étudiants de licence du département d’études germaniques et des étudiants du DNAT design graphique de l’ésam Caen/Cherbourg était d’aborder la question de la mémoire du mur, de Berlin initialement, à travers des documents archivistiques du journaliste Pierre Joffroy mis en perspective grâce à un corpus d’œuvre de fictions sélectionné par Éric leroy du Cardonnoy :
- « Le ciel divisé » de Christa Wolf
- « Le sauteur de mur » de Schneider
- « La fin de l’avenue du soleil » de Thomas Brussig
- « Feu de camp » de Julia Frank
Les étudiants ont présenté leurs recherches en cours sous l’œil attentif de Marc Kravetz, lui aussi grand reporter, ami de Pierre Joffroy.
Regards sur le mur : archives et représentation
mardi 7 avril 2015La journée intitulée « Regards sur le mur : archives et représentation » s’attache à questionner la mémoire des murs à travers le journalisme, la création littéraire et la création visuelle et graphique. Des interventions de professionnels et chercheurs seront ponctuées par des exposés d’étudiants du département d’études germaniques de l’Université Caen Basse-Normandie et du département design graphique de l’ésam Caen/Cherbourg. Ils feront en particulier état de leurs recherches en cours sur le fonds du grand reporter Pierre Joffroy conservé à l’IMEC.
10h – Introduction de François Bordes (IMEC)
10h15 – « Pierre Joffroy, grand reporter » par Marc Kravetz (grand reporter, journaliste à France Culture)
10h45 – Le Ciel divisé de Christa Wolf : contextualisation de l’œuvre par Solène Falaise et Ophélie Divet, (UCBN, étudiantes au département d’études germaniques) / mise en relation éditoriale avec les archives de Pierre Joffroy par Loriane Bouhier et Émeline Sauvaget, (ESAM, étudiantes du département design graphique).
11h – Pause
11h15 – « La littérature allemande et le Mur : réalité et mise en narration », Éric Leroy du Cardonnoy (UCBN, professeur de littérature et civilisation au Département d’études germaniques et directeur de l’Équipe de Recherche sur les Littératures, les Imaginaires et les Sociétés).
11h35 – Le Sauteur de mur de Peter Schneider : contextualisation de l’œuvre par Carly Richards et Niklas Reinhardt, (UCBN, étudiants au département d’études germaniques) / mise en relation éditoriale avec les archives de Pierre Joffroy par Léa Moulec et Anastasia Gladkova, (ésam Caen/Cherbourg, étudiantes du département design graphique)
11h40 – Échange
14h – « Les murs en actualité par le dessinateur El Roto », Sarah Fouquet (ésam Caen/Cherbourg, professeur de dessin et édition dans le département design graphique, membre de l’Équipe Interdisciplinaire de Recherche sur l’Image Satirique).
14h20 – Feu de camp de Julia Franck : contextualisation de l’œuvre par Chloris Delalande et Esteban Lecureuil, (UCBN, étudiantes au département d’études germaniques) / mise en relation éditoriale avec les archives de Pierre Joffroy par Laurie Périssé, (ésam Caen/Cherbourg, étudiante du département design graphique)
14h35 – Alain Desmeulles (IMEC), Témoignage d’un acteur du monde culturel sur la chute du mur.
15h05 – Sonnenallee de Thomas Brussig : contextualisation de l’œuvre par Mathilde Carell et Lorine Marie, (UCBN, étudiantes au département d’études germaniques) / mise en relation éditoriale avec les archives de Pierre Joffroy par Alexandra Martins-Pinto et Anaïs Allias, (ésam Caen/Cherbourg, étudiantes du département design graphique).
15h20 – « Exposer l’exposition » par Nawal Bakouri (professeur en sémiologie et histoire du graphisme de l’ésam Caen/Cherbourg, critique et commissaire d’exposition).
15h40 – Échange
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Informations pratiques > imec-archives.com
Vendredi 10 avril, 10h
IMEC
Abbaye d’Ardenne
14280 Saint-Germain la Blanche-Herbe
Réservation au 02 31 29 52 37 ou reservations@imec-archives.com
(dans la grange aux dîmes)
Table ronde du 6 novembre
samedi 8 novembre 2014Pour la première fois, le département design graphique initie un projet de recherche en partenariat avec l’Université Caen Basse Normandie et l’Institut Mémoires de l’Édition Contemporaine, à cette occasion a eu lieu une table ronde introductive en présence des étudiants de deuxième année et troisième année design graphique et de licence du département d’études germaniques de l’Université.
Programme :
– Walther Fekl (Enseignant-chercheur retraité de la Europa-Universität Viadrina, Frankfurt an der Oder, membre de l’EIRIS, commissaire d’exposition) a présenté la genèse du projet de l’exposition « Cent Murs Sans Murs » et resitué la place de l’image du mur de Berlin dans le dessin de presse francophone.
– Éric Leroy du Cardonnoy (professeur de littérature et civilisation au Département d’études germaniques de l’Université Caen Basse-Normandie, membre de la MRSH et directeur l’unité de recherche ERLIS) > « À travers la presse et la littérature de langue allemande, il s’agira de dégager des constances, des ruptures et des évolutions dans la perception du Mur de Berlin de sa construction à sa disparition. J’essaierai également de montrer ce qu’il reste du Mur aujourd’hui, 20 ans après l’ouverture, tant dans les mentalités que dans les traces écrites (presse et littérature). »
– Thierry Weyd (artiste, éditeur et professeur à l’ésam et chercheur au Laboratoire de l’art & de l’eau) > NOUS SOMMES SI JEUNES, NOUS NE POUVONS PAS ATTENDRE*
Évocation audiovisuelle du mur de Berlin à travers les œuvres musicales et picturales de Kiddy Citny et Thierry Noir. Ces œuvres, peu connues, sont emblématique de l’activisme musical, graphique et artistique berlinois des années 1980. SPRUNG AUS DEN WOLKEN, EINSTUERZENDE NEUBAUTEN, et d’autres formations musicales ont eu pour terreau le paysage berlinois de l’époque du mur (d’où leurs noms), un sombre paysage où musique, performance et graphisme composaient alors le socle d’une culture singulière que l’on qualifie d' »industrielle ». Ce paysage remarquable apparaît notamment en 1987 dans le film de Wim Wenders : « Les ailes du désir » (Der Himmel Über Berlin).
* »PAS ATTENDRE », chanson de Sprung Aus Den Wolken, 1984.
– François Bordes (chercheur à l’Imec, chargé des fonds de sciences humaines et sociales à l’Imec, écrivain, revuiste et enseignant) > La chute du mur de Berlin est un événement qui reste à penser au-delà des catégories de Guerre froide dont nous sommes les héritiers directs. L’IMEC, où se fabrique en partie l’histoire intellectuelle et culturelle du XXe siècle, constitue un lieu pour la « mémoire créative ». Parmi les fonds d’archives conservés à l’abbaye d’Ardenne, certains permettent en effet de redécouvrir et réinterroger cet événement-clef.
– Sarah Fouquet (dessinatrice, graphiste et professeur à l’ésam) > « Faire tomber les murs », un projet européen Haw Hambourg-Erg Bruxelles- ésam Caen/Cherbourg.
Ce projet inter-écoles est né d’une volonté de célébrer le mur de Berlin, sans toute fois regarder en arrière mais bien au contraire en observant l’actualité et en imaginant la suite. Regard croisé sur la question du mur aussi bien symbolique que politique, du dessin de presse à l’affiche, en passant par l’illustration et l’image narrative, « Faire tomber les murs » permet d’aborder un ensemble de typologies d’images, critiques et poétiques, propres à la création graphique contemporaine.
– Nawal Bakouri (critique, commissaire d’exposition et professeur en histoire du graphisme à l’ésam) > Considérant l’exposition comme un espace de réflexion et d’expression visuelle et textuelle, il s’agira de s’interroger sur la fonction du mur dans l’exposition. Au travers les espaces privés et publics de monstration de l’art, les murs de supports et les murs de séparation, l’art de dans et hors les murs, les murs architecturaux et les murs scénographiques, les débats historiques sur les modes d’agencement sur et avec les murs… Il s’agira ce jour d’introduire des pistes de recherches au travers quelques exemples d’expositions.