catégorie ‘2013’

Workshop avec Paul Cox

samedi 11 janvier 2014

Paul Cox (artiste, illustrateur, scénographe…) est venu encadré un atelier illustration avec les étudiants de 3ème année design graphique et des étudiants de 3ème & 4ème année Com, du 18 au 22 novembre. Chacun devait réaliser une série de 5 illustrations en 5 jours sur un texte de leur choix en vu de concourir à Bologne. Dans le même temps ils ont débuté la conception éditorial d’un ouvrage, finalisé et présenté au salon Impressions Multiples, les 24 et 25 janvier.

Paul Cox en entretiens avec Sonia Gabriel, étudiante de troisième année design graphique.

Paul Cox en entretiens avec Sonia Gabriel.

Les étudiants en plein travail.

Les étudiants en plein travail.

travail en cours de réalisation de Sabine Troisvallets.

travail en cours de réalisation de Sabine Troisvallets.

Recherches de Cécile Lacoste.

Recherches de Cécile Lacoste.

Travail de Louise, étudiante de troisième année Com.

Travail de Louise Aleksiejew, étudiante de troisième année Com.

Xylogravures d'Antoine, étudiant de troisième année Com.

Xylogravures d’Antoine Medes, étudiant de troisième année Com.

Travail d'Antoine.

Travail d’Antoine Medes.

Robin Defilhes en linogravure.

Robin Defilhes en linogravure.

Travail de Zoé Leloutre.

Travail de Zoé Leloutre.

Léa Hadjaj en train de maquetter son édition.

Léa Hadjaj en train de maquetter son édition.

Travail de Camille Laurent.

Travail de Camille Laurent.

Présentation des ouvrages à la bibliothèque de l'école.

Présentation des ouvrages à la bibliothèque de l’école.

Ouvrage réalisé par Déborah Puiggali.

Ouvrage réalisé par Déborah Puiggali.

 

 

 

Suite à l’invitation de Thierry Weyd, Paul Cox a proposé une grande fresque dessinée pour le salon Impressions Multiples.

Installation des dessins de Paul Cox.

Installation des dessins de Paul Cox.

Paul Cox en plein accrochage.

Paul Cox en plein accrochage.

 

Affiche des Portes Ouvertes 2014 / workshop avec Elsa Maillot

jeudi 14 novembre 2013

Du 9 au 11 octobre, les étudiants de troisième année design graphique ont planché sur l’affiche des portes ouvertes 2014, dont l’exposition se tiendra cette année le samedi 15 février. Pour l’occasion, la graphiste Elsa Maillot était invitée (dans l’atelier de Christophe Bouder et Sarah Fouquet) présenter sa méthodologie de travail au groupe le faisant réfléchir avant tout à la question « Qu’est-ce que la culture? ». Cette approche plus engagée a permis aux étudiants de questionner l’affiche de façon plus conceptuelle et d’aboutir à des propositions originales.

Affiche sélectionnée © Sabine Troisvallets

Affiche sélectionnée © Sabine Troisvallets

© Déborah Puiggali

© Déborah Puiggali

© Léa Hadjadj

© Léa Hadjadj

© Robin Defilhes

© Robin Defilhes

© Zoé Leloutre

© Zoé Leloutre

 

 

 

 

Graphiste indépendante, Elsa Maillot est diplômée de l’école régionale des Beaux-arts de Besançon en 2009. Son projet de diplôme prenait la forme d’une conférence exposant les concepts de Charles Fourrier et a pu s’augmenter d’objets graphiques imprimés chez Lézard Graphique à l’occasion d’une résidence au Frac Champagne-Ardenne en 2010.

Elle mène un travail de graphisme engagé dans le milieu associatif (Collectif des Alternatives au Capitalisme), culturel (Centre Culturel Populaire Palente Orchamps) et régional (ville de Bobigny). L’affiche est l’une de ses préoccupations majeures, ce qui lui a valu d’être sélectionnée dans différents festivals internationaux (Chaumont, Mons, Varsovie…). Elle intègre la notion de contraintes, due aux moyens réduits de certains de ses clients, à la conception graphique de ses images et de leur impression ce qui donne une écriture originale et marquée à sa production.

THÉORIE DES 4 MOUVEMENTS © Elsa Maillot, 2010

THÉORIE
DES 4 MOUVEMENTS © Elsa Maillot, 2010

POLITISEZ VOTRE ASSIETTE © Elsa Maillot, 2010

POLITISEZ
VOTRE ASSIETTE © Elsa Maillot, 2010

TERRILS HURLANTS CHANTS DE MINE  © Elsa Maillot, 2010

TERRILS HURLANTS
CHANTS DE MINE © Elsa Maillot, 2010

BOBIGNY CŒUR D'HUMANITÉ  © Elsa Maillot & Christophe Gaudard, 2011

BOBIGNY CŒUR D’HUMANITÉ © Elsa Maillot & Christophe Gaudard, 2011

 

 

 

Projet Culture / Santé

vendredi 25 octobre 2013

Les étudiants de design graphique ont réalisé six projets de plateaux pour le CHU de Caen autour des formules « Faire sa tête de lard, Faire l’andouille, Avoir la patate, Casser la croûte… ». Ces plateaux devraient être édités et employés par les patients du CHU d’ici 2015.

Plateau réalisé par Sonia Gabriel, Léa Hadjadj et Camille Laurent.

Plateau réalisé par Sonia Gabriel, Léa Hadjadj et Camille Laurent.

Plateau réalisé par Robin Defilhes.

Plateau réalisé par Robin Defilhes.

Plateau réalisé par Zoé Leloutre, Louise Marnai et Marjorie Ponsard.

Plateau réalisé par Zoé Leloutre, Louise Marnai et Marjorie Ponsard.

Plateau réalisé par Déborah Puiggali, Shirley Thiriat, Sabine Troisvallets et Marion Volpe.

Plateau réalisé par Déborah Puiggali, Shirley Thiriat, Sabine Troisvallets et Marion Volpe.

Plateau réalisé par Sara Frigault.

Plateau réalisé par Sara Frigault.

Plateau réalisé par Elsa Audibert, Marie-Maëlle Arsène et Cécile Lacoste.

Plateau réalisé par Elsa Audibert, Marie-Maëlle Arsène et Cécile Lacoste.

À l’issue de cet atelier, les 6 prototypes de plateaux ont été exposés au cinéma Lux dans le cadre de la présentation de l’ensemble du projet « À table ».

Prototypes des plateaux réalisés par les étudiants.

Prototypes des plateaux réalisés par les étudiants.

Vue de l'exposition au Lux.

Vue de l’exposition au Lux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Promotion DNAT 2013

vendredi 27 septembre 2013

Pour cette nouvelle session, 19 candidats ont soutenu leur DNAT design graphique et tous ont été admis, parmi eux 5 félicitations et 9 mentions. « L’autre », l’usager, le public, était au cœur des préoccupations de cette promotion de designers. Le souci d’aider et d’informer a généré des projets assez atypiques et démontrant une générosité particulière. Exposition et catalogue à suivre…

– Margot Becmont, multimédia > projet d’association des anciens élèves

– Karima Bidar, identité visuelle-multimédia (félicitations) > création de supports de communication pour des créatrices de bijoux marocaines

– Anaïs Blanc-Gonnet, multimédia (mention) > création d’une bibliothèque de podcasts pour iPad

– Caroline Buisson, identité visuelle (mention) > création de l’identité visuelle du théâtre Le Monte Charge à Pau

– Léa Coiffey, identité visuelle (mention) > refonte de l’identité visuelle de l’Université de Caen

– Auriane David, campagne d’information-multimédia (mention) > sondage graphique des habitants de Caen à destination des élus

– Adèle Garceau, édition-illustration (félicitations) > conception d’un livre sur le végétalisme

– Joana Gouin, édition-illustration (félicitations) > conception d’un livre faisant l’état des lieux du débat sur l’autisme en France

– Julie Gouville, édition pédagogique-typographie (mention) > création d’outils graphiques pour apprendre la lecture aux enfants dyslexiques

– Morgane Gautier, identité visuelle-typographie (mention) > création des supports de communication d’un festival de cinéma pauvre à Rouen

– Fanny Lamouroux, édition-illustration (mention) > conception d’un livre d’activité pour permettre d’appréhender graphiquement la notion de bruit

– Frédéric Lionnet, édition-multimédia > création d’un manuel de mathématiques pour iPad

– Marine Lucas, identité visuelle > conception des supports de communication pour une marque féminine de long board

– Ève Madec, édition (mention) > création des supports de communication d’une exposition sur les liens étroits entre l’art et la science

– Annabelle Mollet, édition > conception d’un ouvrage sur les infusions

– Clémence Mignot, identité visuelle (mention) > refonte de l’identité visuelle du CROUS de Caen

– Aude Prévost, identité visuelle-campagne d’information (félicitations) > création des supports de communication du Centre Communal d’Action Sociale de Caen

– Alexandre Quemin, identité visuelle-signalétique > création des supports de communication et de signalétique d’une exposition itinérante des œuvres du CNAP

– Duc Tran, édition (félicitations) > conception d’un ouvrage sur l’histoire, la sociologie et l’actualité du tatouage

Journée professionnelle / DNAT 2013

vendredi 13 septembre 2013

Les épreuves du DNAT, option design graphique, se tiendront du lundi 23 au mercredi 25 septembre à l’ésam, site caennais. Le jury sera composé, entant que président, d’Hiroshi Maeda (artiste et enseignant à l’ENSAD Paris), en tant qu’invitée professionnelle Anne-Lise Mommert (graphiste freelance), entant que théoricien du graphisme, de Charles Gautier (chercheur et professeur à l’ESA Pyrénées) et entant que représentant de l’école, Sarah Fouquet (professeur-coordinateur de l’option). Dans la continuité des épreuves, aura lieu le jeudi 26 septembre, de 12h à 17h une journée professionnelle (vernissage à 12h). Les diplômés recevront le public dans leurs espaces d’accrochages et présenteront leurs projets dans les champs de l’identité visuelle, du web, de l’illustration, de l’édition, de la campagne d’information…

Les différents espaces à visiter :

– atelier 24 (bâtiment A 2ème étage)

– ateliers des bâtiments B, C, D & E (1er étage)

– atelier du bâtiment E (2ème étage)

– atelier du bâtiment E (3ème étage)

journee_pro_dnat_blog

conception graphique : Clémence Mignot

 

Rapport de diplôme / DNAT

dimanche 5 mai 2013

Le rapport du diplôme du DNAT sert à introduire son projet au jury avant sa présentation le jour du diplôme. Inutile de préciser à quel point il est important de ce fait. Puisqu’il permet d’influencer le jury autant le faire de façon positive. Depuis 2012, ce rapport est un élément obligatoire de la diplomabilité. Il vous est demandé de rendre un exemplaire à ce moment et après relecture par les enseignants, il doit être déposé à 5 exemplaires avant le 10 juillet à la scolarité pour envoie aux membres du jury.

Ce petit ouvrage doit être à l’image du candidat, il doit être synthétique, bien rédigé, bien mis en page et bien fabriqué. Le nom de l’étudiant doit être présent ainsi que le titre, l’année de DNAT, ésam Caen/Cherbourg…

Un véritable travail d’écriture est essentiel. Trop de fautes élémentaires et gênantes persistent et rendent la lecture difficile et parfois même impossible. Attention donc à l’orthographe, aux accords, aux répétitions, à la longueur des phrases car plus elles sont courtes mieux c’est. Il faut se faire relire plusieurs fois. Il est conseillé de faire lire un tirage de son texte à une personne extérieure à l’école et de le relire soi-même plusieurs fois avant de le soumettre aux enseignants. Tout le monde y gagnera un temps précieux. Il ne faut jamais hésiter à recourir à un logiciel de traitement de texte comme Word ou Open Office pour rédiger ses textes avant de l’importer dans In Design.
La structure (introduction, parties et conclusion) doit être soignée et limpide. Une introduction ne commence pas par « Je », comme « J’ai voulu faire… » ou « Mon projet… ». D’ailleurs il vaut toujours mieux éviter de commencer l’ensemble de ses phrases par « je » en général et apprendre à être plus original dans ses tournures sans perdre son sujet au milieu d’un kilomètre de mots sans virgule. Deux ou trois phrases suffisent à faire une bonne introduction.
Introduction = amener son projet, les questions qui se sont posées, l’origine du problème… On peut aller jusqu’à annoncer un plan, ça n’a rien de trop scolaire et peut éviter bien des malentendus.
Les parties du rapport exposent et développent sa réflexion, donc il faut marquer l’architecture de son texte par des paragraphes distincts ou par des titres, des sous-titres… La conclusion, quand à elle, est un court récapitulatif qui ouvre sur la présentation des travaux finalisés.

Cet objet doit être pensé en cohérence avec son projet, c’est un élément du diplôme donc il doit en épouser la charte graphique, utiliser les mêmes codes typo, les mêmes couleurs, les mêmes papiers, et peut-être les mêmes proportions (formats et grilles). Ce rapport de diplôme doit éveiller la curiosité sur son projet et donner envie d’en découvrir l’ensemble.

Pour ce qui est de la mise en page et de l’usage fait de la typographie, trop peu souvent maîtrisées, il faut faire des efforts de lisibilité et respecter un minimum les règles qui existent. Un graphiste qui lit un mémoire pourrait s’agacer d’un bloc de texte mal géré — mauvais retour à la ligne ou mauvaise césure, mauvais corps de texte, mauvais choix de caractères, mauvais interlignage, reliure trop près du texte, marges trop petites ou lignes comprenant trop ou trop peu de signes, vibrations de textes clairs sur fonds noirs, drapeau grossier… ­Investir dans un manuel de typographie peut éviter bien des erreurs — Muriel Paris ou Damien Gautier ou le Lexique des règles typographiques à l’usage de l’Imprimerie Nationale
mais déjà quelques liens permettent d’accéder à certaines bases typographiques > http://www.synapse-fr.com/typographie/TTM_0.htm
Un beau gris typographique assure au lecteur un meilleur confort optique pour la forme et donc une plus grande concentration sur le fond. Lorsque les membres du jury recevront vingt textes d’un coup il sera essentiel de se faire bien comprendre immédiatement. Il faut choisir quelques images qui illustrent bien votre projet et répondent au texte sans trop en dire. L’utilisation de légendes est loin d’être déconseillée. Un titre, un sous-titre, un texte, une légende… chacun doit avoir un corps adapté à sa fonction et créer ainsi une hiérarchie évidente dans la lecture.

En livre de poche, on met du corps 9 ou 10 donc il vaut mieux éviter les systématiques corps 12 et 14 pour « malvoyants ou jeunes enfants » en texte courant avec des caractères qui ont une grande hauteur d’œil ou qui chassent large. Pour ne plus faire ce genre d’erreur, il est préférable de travailler ses blocs en affichage taille d’impression à l’écran, sinon il y aura toujours de mauvaises surprises à l’impression. Cela permet d’autre part de mieux appréhender l’espace de sa page et donc de rectifier éventuellement son format, ses proportions ou ses blancs. Chaque année les étudiants ont tendance à se réfugier dans de petits formats, carrés bien souvent, alors qu’il s’agit d’en choisir avant tout un qui soit parfaitement approprié à son sujet. Par exemple pour un magazine, un cahier au format original de l’édition servira de prototype, pareil pour un livret de CD s’il s’agit d’un label de musique. Tout est envisageable à vrai dire, il suffit de faire quelques essais de maquette en blanc au préalable avec le bon grammage de papier pour en constater la tenue en main.

Il est également à prévoir au sein de son rapport un court texte pour faire état de ses expériences de stage. La période de stage, sa durée, ses missions et ses éventuels apprentissages sont à préciser. Il est important d’y ajouter quelques photographies ou images des projets auxquels vous avez participé. Il faut rester ici aussi simple, claire, concis et soigné.

N’oubliez pas d’ajouter vos références bibliographiques sous la forme d’un index, il peut s’agir de noms, d’adresses de site internet, du titre d’un ouvrage, d’un article… Dans ce cas vous devez lui donner la forme appropriée typographiquement.

De bons rapports de diplôme mettront les membres du jury en condition de rencontrer les auteurs et de mieux en appréhender le travail. Ce sont de petits outils de communication qui peuvent facilement s’avérer très payants pour le diplôme.

Pressez-vous n°5 / presse

lundi 1 avril 2013

Article paru dans Ouest-France le 31 mars 2013

La Maison de l’étudiant accueille jusqu’au 18 avril l’exposition Pressez-vous, composée de dessins réalisés par les étudiants du département design graphique de l’école supérieure d’arts et médias Caen/Cherbourg

« Elle se tient en résonance avec la 24e Semaine de la presse et des médias dans l’école, qui a pour thème Des images pour informer », indique Valérie Coispel, de la MDE. Les dessins sont répartis en trois séries : « Seize dessins réalisés dans le cadre de Presse-citron », trophée du dessin de presse qui fête cette année sa 20e édition. « Quarante-deux illustrations conçues à l’occasion du concours franco-allemand Pas de deux – Paarlauf », autour du traité d’amitié franco-allemand dont 2013 marque le cinquantenaire, et enfin « vingt images réalisées pour le magazine L’Outil », consacré à l’activité musicale et culturelle du Grand Ouest.

Un échantillonnage « de graphismes éditoriaux, affranchis de mots, où se côtoient transcriptions figuratives et interprétations humoristiques ou acerbes d’une actualité aussi bien politique que culturelle ».

Vue de l'exposition © Ouest-France

Vue de l’exposition © Ouest-France

Inauguration de Pas de deux / Paarlauf

vendredi 29 mars 2013

Inauguration >

L’exposition Pas de deux/Paarlauf, en hommage au 50 ans du traité de l’Élysée, scellant l’amitié du couple franco-allemand, a été inaugurée le jeudi 21 mars à l’ésam Caen. Cette exposition initiée par le Cidal, le Gœthe Instiut et l’école Estienne reste visible jusqu’au 19 avril.

Un court débat public entre Walther Fekl (commissaire de l’exposition, Soulcié (dessinateur de presse) et Serge David (collectionneur de presse satirique) a permis de revenir sur l’histoire des relations franco-allemandes. Walther Fekl a repris la genèse de ce projet, expliquant ces choix et sa volonté d’organiser un concours ouvert aux étudiants. Chacun a pu montrer des dessins, soit antérieurs à ce traité de 1963, soit des dessins contemporains à l’évènement mais qui n’ont pu figurer dans l’exposition, soit encore d’autres dessins du couple vu par Soulcié.

Pour l’occasion Madame Béatrice Mercier, proviseur adjoint de l’école Estienne a pu être présente et nous l’en remercions.

Débat avec de gauche à droite, Sarah Fouquet, Serge David, Thibaut Soulcié et Walther Fekl © Caroline Buisson

Débat avec de gauche à droite, Sarah Fouquet, Serge David, Thibaut Soulcié et Walther Fekl (photo © Caroline Buisson)

Discours d'ouverture avec de gauchae à droite Éric Lengereau (directeur de l'école), Sarah Fouquet, Walther Fekl et Thibaut Soulcié

Discours d’ouverture avec de gauche à droite Éric Lengereau (directeur de l’école), Sarah Fouquet, Walther Fekl et Thibaut Soulcié (photo © Ève Madec)

Vue de l'accrochage des dessins professionnels © Sarah Fouquet

Vue de l’accrochage des dessins professionnels (photo © Sarah Fouquet)

Vue de l'accrochage des dessins du concours étudiants © Éve Madec

Vue de l’accrochage des dessins du concours étudiants (photo © Éve Madec)

Vue générale de l'exposition des dessins professionnels © Caroline Buisson

Vue générale de l’exposition des dessins professionnels (photo © Caroline Buisson)

Vue générale de l'exposition des dessins professionnels (photo © Caroline Buisson)

Vue générale de l’exposition des dessins professionnels (photo © Caroline Buisson)

Vue de l'exposition des dessins professionnels (photo © Caroline Buisson)

Vue de l’exposition des dessins professionnels (photo © Caroline Buisson)

table de dessins professionnels © Ève Madec

table de dessins professionnels (photo © Ève Madec)

table de dessins professionnels © Ève Madec

table de dessins professionnels (photo © Ève Madec)

Vue générale de l'exposition des dessins étudiants © Caroline Buisson

Vue générale de l’exposition des dessins étudiants (photo © Caroline Buisson)

Tables de dessins étudiants © Sarah Fouquet

Tables de dessins étudiants © Sarah Fouquet

Vernissage du 21 mars

Vernissage du 21 mars (photo © Sarah Fouquet)Article dans Pixelcréation >

Article dans Pixelcréation >

« 50 ans d’amitié franco-allemande en dessins… et caricatures.
Professeur et coordonnateur du département design graphique de l’école supérieure d’arts et médias (ésam) de Caen depuis 5 ans, Sarah Fouquet dessine aussi en indépendante pour la presse et l’édition. Et elle organise chaque année un évènement autour du dessin de presse, considérant « indispensable que de futurs graphistes, en prise avec le monde, soient initiés à cette discipline ». En 2011, Sarah Fouquet s’était fortement impliquée dans l’exposition sur la révolution tunisienne Le peuple veut (voir notre article et galerie en rubrique Graphisme). 

Cette année, le thème de l’exposition, Pas de deux/Paarlauf, est le cinquantenaire du Traité de l’Elysée, signé entre le général De Gaulle et le chancelier Adenauer en 1963 et scellant la réconciliation entre la France et l’Allemagne. Un projet réalisé en deux volets en partenariat avec le Cidal (Centre de documentation sur l’Allemagne), le Gœthe Institut et l’école Estienne, à l’initiative de Luce Mondor (créatrice du trophée Presse Citron). 
D’une part  100 dessins de presse professionnels retraçant les 50 ans d’histoire du couple franco-allemand ont été choisis par Walther Fekl, commissaire de l’exposition et éditeur du catalogue de l’exposition (éditeur Schaltzeit Verlag).  Des dessins de Willem, Plantu, Ungerer, Cabu… dialoguent avec ceux de Sakuraï, Stuttmann, Hachfeld, Plaßmann…
Et puis 50 dessins d’étudiants (25 dessins français et 25 dessins allemands) ont été  sélectionnés à l’issue d’un concours co-organisé par l’ésam et l’école Estienne, concours qui distingue particulièrement  4 lauréats : Nastasia Verdeil (école Estienne), Joana Gouin (ésam Caen/Cherbourg), Oliver Ottisch et Leonard Riegel.
Après une exposition à Paris au Centre de documentation de l’ambassade d’Allemagne et au Gœthe Institut, l’ésam de Caen accueille l’ensemble des 150 dessins du 21 mars au 19 avril 2013. Avec, à l’occasion du vernissage le 21 mars 2013, un débat à 17h30 avec Walther Fekl, le commissaire de l’exposition et éditeur du catalogue, Soulcié (dessinateur de presse), Serge David (collectionneur de presse satirique) et Sarah Fouquet (en tant que modératrice) ouvert aux étudiants et au public.

«J’ai  eu le souci dans ma sélection, explique Walther Fekl, de faire ressortir les qualités particulières du dessin de presse, qui conduit à une forme d’appréhension et de compréhension de la politique qui diffère de l’analyse verbale et qui produit une intelligence et des types de réaction que l’écrit ne saurait atteindre. Il s’agissait surtout de ne pas abuser du dessin de presse pour faire une sorte de chronologie illustrée des relations franco-allemandes. » Pari réussi : le côté aigre-doux, voire carrément satirique, de nombre de dessins tant professionnels que d’étudiants laisse de côté aussi bien l’hagiographie que le romantisme. Mais savoir gérer ses conflits de couple n’est-il pas le signe de la maturité ? »

Clémentine Gaspard, mars 2013

Pour voir les 24 dessins de la galerie > http://www.pixelcreation.fr

"La relation franco-allemande" © Maja

« La relation franco-allemande » © Maja

"Le chancelier Adenauer et par-dessus tout le général de Gaulle" © TIM

« Le chancelier Adenauer et par-dessus tout le général de Gaulle » © TIM

Article sur le blog Fait d’images >

« Caen capitale du dessin de presse

L’exposition « Pas de deux / Paarlauf » , organisée à Paris par le Centre de documentation de l’ambassade d’Allemagne et le Gœthe Institut (voir blog du 15.1.2013), sera présentée du 21 mars au 19 avril 2013 à l’ésam, école supérieure d’arts & médias, de Caen dans le cadre du deuxième Festival d’arts graphiques de la ville.
Le 21 mars, jour de l’inauguration officielle, un débat est proposé à 17h30 avec la participation de Walther Fekl, le commissaire de l’exposition et éditeur du catalogue, Soulcié, dessinateur, Serge David (collectionneur de presse satirique) et Sarah Fouquet (en tant que modératrice), il est ouvert aux étudiants et au public.
Présentation de l’exposition par les organisateurs : « 100 dessins professionnels retracent les 50 ans d’histoire du couple franco-allemand et 50 dessins (25 dessins français et 25 dessins allemands), sélectionnés à l’issue d’un concours, projettent le couple dans les 50 années à venir. Des dessins de Willem, Plantu, Ungerer, Cabu… dialoguent avec ceux de Sakuraï, Stuttmann, Hachfeld, Plaßmann… ».
En illustration, dessin de Joana Gouin (ésam Caen), une des lauréates du concours réservé aux étudiants qui devaient imaginer le couple franco-allemand dans les 50 années à venir. Autres lauréats Léonard Riegel et Oliver Ottisch pour l’Allemagne, et Nastasia Verdeil (École Estienne).
Quelle liberté le dessinateur a-t-il de s’exprimer dans son journal ?, Comment dessiner librement face aux interdits ? Quel est le poids de l’autocensure ?, Le Français peut-il rire de lui-même ? Comment les dessinateurs font rire les Français de leurs propres travers ?, Où en est-on avec la liberté d’expression aujourd’hui ? Le politiquement correct a-t-il gagné ? L’autocensure est-elle devenue le premier frein à la liberté d’expression ?, tous ces thèmes essentiels seront abordés lors du 3ème Festival international du dessin de presse qui se déroulera du 8 au 13 avril 2013 à Caen au Mémorial – Cité de l’histoire pour la paix.
Liste des dessinateurs présents : Berth (France), Brunor (France) Carali (France) Caruso (Brésil), Chaunu (France), Danziger (USA), Donnelly (USA), Haddad, qui signe l’affiche (Liban), Jiho (France), Kap (Espagne) Kazanevsky (Ukraine), Kianoush (Iran), Mix & Remix (Suisse), Von Rebeur (Argentine), Willis from Tunis (Tunisie).

À noter que le samedi 13 avril, une soirée-débat est organisée autour du magazine Siné Mensuel, en présence de nombreux membres de l’équipe. »

François Forcardell

Pour en savoir plus > http://www.iconovox.com/blog/2013/03/19/caen-capitale-du-dessin-de-presse/

Pressez-vous 5ème édition

samedi 23 mars 2013

Comme chaque année pour la semaine de la presse les étudiants du département design graphique exposent leurs dessins de presse. Pour cette cinquième édition l’exposition se tiendra à la Maison de l’étudiant de Cherbourg du 25 mars au 18 avril dans le cadre du Festival Arg2.

Cette exposition regroupera le travail mené sur le premier semestre à la fois en dessin de presse pour le concours Pas de deux / Paarlauf (cf. les précédents articles), du concours Presse Citron de l’école Estienne et des illustrations de presse réalisée pour le journal d’information culturelle gratuit, l’Outil.

Un vernissage aura lieu le mercredi 27 mars, à 12h, en présence d’étudiants de deuxième année design graphique.

affiche réalisé par Anaïs Sébire et Lisa Toulorge (étudiantes en deuxième année de DUT Gestion des entreprises et des administrations) à partir d'un dessin de Frédéric Lionnet (étudiant de troisième année design graphique à l'ésam Caen/Cherbourg)

affiche réalisé par Anaïs Sébire et Lisa Toulorge (étudiantes en deuxième année de DUT Gestion des entreprises et des administrations) à partir d’un dessin de Frédéric Lionnet (étudiant de troisième année design graphique à l’ésam Caen/Cherbourg)

Portes Ouvertes du 22 février 2013

mercredi 13 mars 2013

Comme chaque année l’ésam de Caen/Cherbourg a ouvert ses portes au public le temps d’une journée. Chaque département présentait le travail de ses étudiants dans les ateliers des étudiants et dans les ateliers techniques.

3ème année design graphique >

Atelier 3ème année Design Graphique (photo © Éve Madec)

Atelier 3ème année Design Graphique (photo © Éve Madec)

Indentité visuelle d'un état-nation, sujet de Jean-Baptiste Levée (photo © Ève Madec)

Identité visuelle d’un état-nation, sujet de Jean-Baptiste Levée (photo © Ève Madec)

Indentité visuelle d'un état-nation, sujet de Jean-Baptiste Levée (photo © Sarah Fouquet)

Indentité visuelle d’un état-nation, sujet de Jean-Baptiste Levée (photo © Sarah Fouquet)

Carnet de typo, sujet de Jean-Baptiste Levée (photo © Ève Madec)

Carnet de typo, sujet de Jean-Baptiste Levée (photo © Ève Madec)

PO2013-10

Illustrations pour le concours de Bologne, sujet de Sarah Fouquet (photo© Ève Madec)

"Là où j'en suis", sujet de Tanya Rodgers et Thierry Weyd (photo© Sarah Fouquet)

« Là où j’en suis », sujet de Tanya Rodgers et Thierry Weyd (photo© Sarah Fouquet)

Hors série du journal Gratuit l'Outil (photo © Ève Madec)

Hors série du journal Gratuit l’Outil (photo © Ève Madec)

PO2013-7

Hors série du journal Gratuit l’Outil (photo © Ève Madec)

Affiche pour les portes ouvertes, sujet de Sarah Fouquet (photo © Ève Madec)

Affiche pour les portes ouvertes, sujet de Sarah Fouquet (photo © Ève Madec)

 

2ème année design graphique >

Texte-Image, sujet de Tanya Rodgers (photo © Sarah Fouquet)

Texte-Image, sujet de Tanya Rodgers (photo © Sarah Fouquet)

 

Texte-Image, sujet de Tanya Rodgers (photo © Ève Madec)

Texte-Image, sujet de Tanya Rodgers (photo © Ève Madec)

 

Texte-Image, sujet de Tanya Rodgers (photo © Ève Madec)

Texte-Image, sujet de Tanya Rodgers (photo © Ève Madec)

 

Modèle vivant, cours de Sarah Fouquet (photo c Sarah Fouquet)

Modèle vivant, cours de Sarah Fouquet (photo c Sarah Fouquet)

Carnet de dessin, sujet de Sarah Fouquet (photo © Sarah Fouquet)

Carnet de dessin, sujet de Sarah Fouquet (photo © Sarah Fouquet)

Atelier de 2ème année design graphique (photo © Sarah Fouquet)

Atelier de 2ème année design graphique (photo © Sarah Fouquet)

Photo-mobile, sujet de Bernard Chéreau (photo © Sarah Fouquet)

Photo-mobile, sujet de Bernard Chéreau (photo © Sarah Fouquet)

 

Dessins de presse (photo © Sarah Fouquet)

Dessins de presse, cours de Sarah Fouquet (photo © Sarah Fouquet)